C'est fait ! Le formidable documentaire Et si la mort n'existait pas ? », Ă©crit et rĂ©alisĂ© par ValĂ©rie Seguin & Dominic Bachy et que jâai le plaisir de prĂ©senter, vient de dĂ©passer les 3 millions de vues sur Godefroy
UnevidĂ©o sur la mort, les expĂ©riences de mort imminente, des sorties du corps, lâhypnose, la mĂ©diumnitĂ©, une enquĂȘte dĂ©taillĂ©e et commentĂ©e par des scientifiques, des mĂ©decins,.StĂ©phane Allix nous parle de son livre âLe testâQue se passe-t-il aprĂšs la mort ? Nos dĂ©funts sont-ils confus ou comprennent-ils ce qui leur arrive ? Vivent-ils un temps dâadaptation avant dâĂ©voluer ? Et sâil existait des moyens de les aider ? Et de nous aider Ă mieux vivre ce deuil par la mĂȘme occasion ? DISPONIBLE ICI [widget id= »custom_html-14âł] Et si la mort nâexistait pas ? avec ValĂ©rie Seguin sur btlv Avec la complicitĂ© de Dominique Bachy, ValĂ©rie Seguin est allĂ©e Ă la rencontres de Raymond Moody, de Didier Van Cauwelaert, de Philippe Guillemant, de Nicolas Fraisse, etc..mais aussi de tĂ©moins ayant vĂ©cu des expĂ©riences de mort imminente EMI ou NDE dans le but de comprendre la mort et ses mystĂšres . Que se passera-t-il lorsque nous mourrons ? OĂč irons-nous ? Subsistera-t-il quelque de chose de nous ? Les tĂ©moins des expĂ©riences de mort imminente en sont convaincus. MalgrĂ© tout, personne ne peut rĂ©ellement dire que la vie aprĂšs la mort est une rĂ©alitĂ©, mĂȘme si ce film âEt si la mort nâexistait pas ?â nous donne de lâespoir sur le sujet. TrouvĂ© sur [widget id= »custom_html-14âł] SiAdam avait obĂ©i Ă la loi de JĂ©hovah, il ne serait pas mort ; aujourdâhui, il serait toujours vivant sur la terre. Mais lorsque, volontairement, il viola la loi de Dieu, Dieu lui dit : « Tu retourne[ra]s au sol, car câest de lui que tu as Ă©tĂ© pris. Car tu es poussiĂšre et tu retourneras Ă
Lâinvasion de lâUkraine par les Russes en 2022 est, comme le fut celle de lIrak par les AmĂ©ricains en 2003, une invitation Ă repenser la libertĂ©. Il faut sans cesse repenser la libertĂ©. On pourrait mĂȘme dire quâelle consiste avant tout Ă se repenser elle-mĂȘme. Se repenser pour se reconquĂ©rir car elle est toujours menacĂ©e dâextinction. Suite Ă lâinvasion de lâUkraine, on a entendu mille fois cette pathĂ©tique question comment une telle horreur est-elle possible en 2022? Le 3 mars, le prĂ©sident de lâUkraine, Volodymyr Zelensky, lâa reprise Ă son compte sur un ton qui tirait les larmes. Cette invocation, car il sâagit bien dâune invocation, brise le cĆur parce quâelle sâadresse non Ă des personnes, divines ou humaines, mais Ă une idĂ©e abstraite appelĂ©e sens de lâhistoire » ou progrĂšs. Cette idĂ©e, apparue au siĂšcle des LumiĂšres, est la promesse de perfection que lâhomme sâest faite Ă lui-mĂȘme en tournant le dos Ă Dieu pour prendre les commandes de sa destinĂ©e. Elle a pĂ©nĂ©trĂ© les mentalitĂ©s Ă un point tel que tous, modernes et post-modernes, semblent prĂ©sumer que le mal est en voie de disparition dans le monde, que chaque jour qui passe est un barreau dans lâĂ©chelle vers la perfection, que lâhistoire est un ascenseur quâon supplie, en cas de panne, de reprendre sa montĂ©e vers le septiĂšme ciel. PlutĂŽt que de nous enliser dans cette pensĂ©e magique, nous aurions intĂ©rĂȘt Ă rĂ©flĂ©chir sur le sens du mal, ce Ă quoi nous invitent ces civils ukrainiens devenant soldats en quelques jours, avec un courage rappelant celui de tant de rĂ©sistants du passĂ©. Câest le contact brutal avec le mal qui rend ces faibles humains capables dâun tel hĂ©roĂŻsme. Si le mal nâexistait pas, tout irait pour le mieux, mais dans ce meilleur des mondes, notre autonomie se limiterait au choix superficiel entre des objets et des projets ; nous nâaurions pas ce don suprĂȘme, mĂ©ritant pleinement le nom de libertĂ©, de choisir entre le bien et le mal. Nous nâaurions que des prĂ©fĂ©rences, point dâengagements profonds et durables pouvant aller jusquâau sacrifice de notre vie pour des ĂȘtres et des pays aimĂ©s. Les chemins vers cette libertĂ© profonde varient selon les cultures, Voici celui que mâindiquent mes racines chrĂ©tiennes la perfection nâest pas de ce monde. La nature, par Dieu créée, est imparfaite, mais elle comporte assez de vie, de bien et de beautĂ© pour que, usant de sa libertĂ© et misant sur la grĂące, lâhomme sâoriente vers une perfection intĂ©rieure baignant dans le mystĂšre et aurĂ©olĂ©e dâĂ©ternitĂ©, Vue sous cet angle, la libertĂ© est le sens du mal, vĂ©ritĂ© quâon hĂ©site Ă reconnaĂźtre tant on peut craindre quâelle serve Ă justifier la complicitĂ© avec le mal. Composer avec le mal et en ĂȘtre complice sont heureusement deux choses bien diffĂ©rentes. Le meilleur usage de la libertĂ© est de combattre le mal, en soi et hors de soi, sans exiger ni mĂȘme rĂȘver de lâĂ©radiquer, mais en dĂ©sirant lâĂ©nergie spirituelle requise pour nous engager rĂ©ellement dans la voie de notre idĂ©al. En prĂ©fĂ©rant le plus grand des risques Ă leur asservissement, les civils ukrainiens nous rappellent aussi que la libertĂ© est fille de la mort, ce dont tĂ©moignent les cimetiĂšres militaires, si vite oubliĂ©s; oubliĂ© aussi le souvenir de tous les vaincus qui ont prĂ©fĂ©rĂ© le suicide au dĂ©shonneur, de tous les esclaves qui ont pris le risque de la rĂ©volte, de tous les croyants qui nâont pas trahi leur Dieu quand on les sommait de le faire, de tous les savants qui ont prĂ©fĂ©rĂ© la vĂ©ritĂ© Ă lâopinion du plus fort, de Socrate, de SĂ©nĂšque et de tous ceux qui comme eux ont suivi des principes plus chers Ă leurs yeux que leur propre vie. Cette libertĂ© profonde suppose lâexistence dâune seconde dimension, spirituelle, dans lâĂȘtre humain, elle peut aussi prendre appui sur lâespĂ©rance dâune autre vie aprĂšs la mort. On se prend Ă prĂ©sumer que ces conditions existent encore en Ukraine. Elles sont presque partout menacĂ©es par la montĂ©e du matĂ©rialisme et de lâunidimensionnalitĂ©. Dans ce contexte, le mal, y compris la maladie, le malheur et la mort peut-il encore avoir un sens? Est-il encore possible de composer avec lui, de se limiter au moindre mal dans lâaction? Ou ne reste-t-il plus quâĂ mener contre lui une guerre totale, avec des mobiles associĂ©s Ă des utopies promettant le paradis sur terre ? Le combat contre le mal devient alors une menace pour la libertĂ©. Les conversions au bien ne pouvant venir de la vie intĂ©rieure, qui nâexiste plus, le progrĂšs escomptĂ© nĂ©cessite un contrĂŽle et une surveillance sans cesse accrus, scĂ©nario dont Orwell 1984 et Huxley Le meilleur des mondesont fait une analyse donnant Ă entendre que lâhomme rĂ©duit Ă ses seuls moyens ne peut sâamĂ©liorer quâen renonçant Ă sa libertĂ©, une libertĂ© que les sciences humaines, au mĂȘme moment, ont prĂ©sentĂ©e comme une illusion. Relire Beyond Freedom and Dignity et Walden Two Dans ce scĂ©nario, le mĂ©canique, sous toutes ses formes, y compris la forme administrative, se substitue au vivant pour une raison trĂšs simple les machines, alliages de raison dĂ©sincarnĂ©e et de minĂ©ral, peuvent ĂȘtre portĂ©es Ă un trĂšs haut degrĂ© de perfection. Elles sâĂ©lĂšvent ainsi au-dessus du couple mal-libertĂ© qui caractĂ©rise le vivant et suit sa hiĂ©rarchie. Il nây a ni mal ni libertĂ© dans la matiĂšre inanimĂ©e. Ă la vision spiritualiste du monde Ă©voquĂ©e prĂ©cĂ©demment se substitue alors cette vision transhumaniste la perfection sera de ce monde, mais par le moyen de la seule chose que lâhomme dieu sait faire mieux que le CrĂ©ateur des machines, auxquelles il ne peut que ressembler de plus en plus. On voit par lĂ que la minĂ©ralisation de la terre nâest pas seulement un problĂšme environnemental mais aussi une atteinte Ă la libertĂ©.
Etsi la mort n'existait pas (Partie 1 et 2) ET SI LA MORT N'ETAIT QU'UN PASSAGE. RĂ©alisation: ValĂ©rie Seguin et Dominic Bachy PrĂ©sentation : AurĂ©lie Godefroy â Narration : François-Eric Gendron Ce film prĂ©sente les Ă©tudes scientifiques et les diffĂ©rents phĂ©nomĂšnes observĂ©s autour de la mort (EMI, dĂ©corporations, contacts avec les dĂ©funts, visions des