Lafatigue et si forte que la personne n’arrive plus Ă  suivre ce qui se passe directement autour d’elle. Comment rĂ©agir : laissez la personne dormir. Evitez de la rĂ©veiller brutalement. Partez du principe que tout ce que vous dites peut ĂȘtre entendu, car l’ouĂŻe continue Ă  fonctionner, mĂȘme lorsque la personne est inconsciente, et mĂȘme dans le coma. 3. Cette citation de Romain GARY Au fond, si la mort n'existait pas, la vie perdrait son caractĂšre comique. , fait partie des plus belles citations et pensĂ©es que nous vous proposons de Romain GARY. Partager cette citation Vous trouverez ci-dessous des illustrations de cette citation de Romain GARY que vous pouvez facilement tĂ©lĂ©charger ou publier directement sur vos rĂ©seaux sociaux prĂ©fĂ©rĂ©s tels que Facebook, Twitter, Instagram ou Pinterest. Citations similaires Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires Ă  la citation de Romain GARY Au fond, si la mort n'existait pas, la vie perdrait son caractĂšre comique., contenant les termes existait, perdrait et caractĂšre. Voir d'autres citations d'auteurs DĂ©couvrez des centaines d'auteurs cĂ©lĂšbres et toutes leurs citations cĂ©lĂšbres. Alexandre Dumas Fils Ambrose BIERCE Barack OBAMA Emil Michel Cioran Francis Bacon François de Curel François RABELAIS François Truffaut Franz-Olivier Giesbert Karl Lagerfeld Marc AurĂšle proverbe Rechercher une citation
Aussiincroyable que cela puisse paraĂźtre, il y en a qui croient que la pandĂ©mie que nous vivons n’existe pas. Qu’elle est une histoire inventĂ©e de toute piĂšce. Que la majoritĂ© d’entre nous qui portons le masque sommes complĂštement dans le champ. Que les plus de 800 000 morts emportĂ©s par la COVID-19 Ă  la grandeur de la planĂšte

C'est fait ! Le formidable documentaire Et si la mort n'existait pas ? », Ă©crit et rĂ©alisĂ© par ValĂ©rie Seguin & Dominic Bachy et que j’ai le plaisir de prĂ©senter, vient de dĂ©passer les 3 millions de vues sur Godefroy

UnevidĂ©o sur la mort, les expĂ©riences de mort imminente, des sorties du corps, l’hypnose, la mĂ©diumnitĂ©, une enquĂȘte dĂ©taillĂ©e et commentĂ©e par des scientifiques, des mĂ©decins,.
StĂ©phane Allix nous parle de son livre “Le test”Que se passe-t-il aprĂšs la mort ? Nos dĂ©funts sont-ils confus ou comprennent-ils ce qui leur arrive ? Vivent-ils un temps d’adaptation avant d’évoluer ? Et s’il existait des moyens de les aider ? Et de nous aider Ă  mieux vivre ce deuil par la mĂȘme occasion ? DISPONIBLE ICI [widget id= »custom_html-14″] Et si la mort n’existait pas ? avec ValĂ©rie Seguin sur btlv Avec la complicitĂ© de Dominique Bachy, ValĂ©rie Seguin est allĂ©e Ă  la rencontres de Raymond Moody, de Didier Van Cauwelaert, de Philippe Guillemant, de Nicolas Fraisse, etc..mais aussi de tĂ©moins ayant vĂ©cu des expĂ©riences de mort imminente EMI ou NDE dans le but de comprendre la mort et ses mystĂšres . Que se passera-t-il lorsque nous mourrons ? OĂč irons-nous ? Subsistera-t-il quelque de chose de nous ? Les tĂ©moins des expĂ©riences de mort imminente en sont convaincus. MalgrĂ© tout, personne ne peut rĂ©ellement dire que la vie aprĂšs la mort est une rĂ©alitĂ©, mĂȘme si ce film “Et si la mort n’existait pas ?” nous donne de l’espoir sur le sujet. TrouvĂ© sur [widget id= »custom_html-14″] SiAdam avait obĂ©i Ă  la loi de JĂ©hovah, il ne serait pas mort ; aujourd’hui, il serait toujours vivant sur la terre. Mais lorsque, volontairement, il viola la loi de Dieu, Dieu lui dit : « Tu retourne[ra]s au sol, car c’est de lui que tu as Ă©tĂ© pris. Car tu es poussiĂšre et tu retourneras Ă 
Depuis que je suis enfant je "sais', sans bien sur, pouvoir prouver quoi que ce soit que la mort n'existe vous ressortirai bien ce qu'on dit sur le sujet, comme par exemple que nos corps ne sont que des vĂ©hicules pour nos Ăąmes et qu'ils meurent une fois que nous avons accompli le "programme' que nous nous Ă©tions fixĂ© avant notre eu plusieurs expĂ©riences suite Ă  des dĂ©cĂšs de proches qui n'ont fait que me conforter dans cette conviction, idem pour les livres. Au moins puis je me dire que je ne suis pas la seule "cinglĂ©e' ayant cette certitude car c'est bien ainsi que je le fait de croire que notre vie sur terre n'est qu'un passage, un peu comme une grande salle de classe ou l'on vient apprendre, comprendre et Ă©voluer, donne une toute autre perception de la vie et des Ă©preuves qui s'y rattachent. Mais cela donne aussi beaucoup plus de sens et amĂšne Ă  rĂ©flĂ©chir diffĂ©remment, en effet ce que nous faisons n'est pas sans consĂ©quence, ni pour autrui, ni pour nous, aussi vivre ainsi amĂšne a une plus grande conscience de l'autre. Ainsi pour moi la mort sera le moment ou je pourrai rentrer chez moi... Elle devient juste un nouveau voyage et non ce gouffre oĂč l'on cesse d'exister Ă  jamais... rien n'est terminĂ©, tout continue
Aufond, si la mort n'existait pas, la vie perdrait son caractÚre comique. Romain Gary est l'auteur de la citation sur la vie "Au fond, si la mort n'existait pas, la vie perdrait son caractÚre comique.". Romain Gary est également l'auteur des citations : Vous ne pouvez pas attendre de la vie d'avoir un sens. Vous devez lui en donner un.
L’invasion de l’Ukraine par les Russes en 2022 est, comme le fut celle de lIrak par les AmĂ©ricains en 2003, une invitation Ă  repenser la libertĂ©. Il faut sans cesse repenser la libertĂ©. On pourrait mĂȘme dire qu’elle consiste avant tout Ă  se repenser elle-mĂȘme. Se repenser pour se reconquĂ©rir car elle est toujours menacĂ©e d’extinction. Suite Ă  l’invasion de l’Ukraine, on a entendu mille fois cette pathĂ©tique question comment une telle horreur est-elle possible en 2022? Le 3 mars, le prĂ©sident de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, l’a reprise Ă  son compte sur un ton qui tirait les larmes. Cette invocation, car il s’agit bien d’une invocation, brise le cƓur parce qu’elle s’adresse non Ă  des personnes, divines ou humaines, mais Ă  une idĂ©e abstraite appelĂ©e sens de l’histoire » ou progrĂšs. Cette idĂ©e, apparue au siĂšcle des LumiĂšres, est la promesse de perfection que l’homme s’est faite Ă  lui-mĂȘme en tournant le dos Ă  Dieu pour prendre les commandes de sa destinĂ©e. Elle a pĂ©nĂ©trĂ© les mentalitĂ©s Ă  un point tel que tous, modernes et post-modernes, semblent prĂ©sumer que le mal est en voie de disparition dans le monde, que chaque jour qui passe est un barreau dans l’échelle vers la perfection, que l’histoire est un ascenseur qu’on supplie, en cas de panne, de reprendre sa montĂ©e vers le septiĂšme ciel. PlutĂŽt que de nous enliser dans cette pensĂ©e magique, nous aurions intĂ©rĂȘt Ă  rĂ©flĂ©chir sur le sens du mal, ce Ă  quoi nous invitent ces civils ukrainiens devenant soldats en quelques jours, avec un courage rappelant celui de tant de rĂ©sistants du passĂ©. C’est le contact brutal avec le mal qui rend ces faibles humains capables d’un tel hĂ©roĂŻsme. Si le mal n’existait pas, tout irait pour le mieux, mais dans ce meilleur des mondes, notre autonomie se limiterait au choix superficiel entre des objets et des projets ; nous n’aurions pas ce don suprĂȘme, mĂ©ritant pleinement le nom de libertĂ©, de choisir entre le bien et le mal. Nous n’aurions que des prĂ©fĂ©rences, point d’engagements profonds et durables pouvant aller jusqu’au sacrifice de notre vie pour des ĂȘtres et des pays aimĂ©s. Les chemins vers cette libertĂ© profonde varient selon les cultures, Voici celui que m’indiquent mes racines chrĂ©tiennes la perfection n’est pas de ce monde. La nature, par Dieu créée, est imparfaite, mais elle comporte assez de vie, de bien et de beautĂ© pour que, usant de sa libertĂ© et misant sur la grĂące, l’homme s’oriente vers une perfection intĂ©rieure baignant dans le mystĂšre et aurĂ©olĂ©e d’éternitĂ©, Vue sous cet angle, la libertĂ© est le sens du mal, vĂ©ritĂ© qu’on hĂ©site Ă  reconnaĂźtre tant on peut craindre qu’elle serve Ă  justifier la complicitĂ© avec le mal. Composer avec le mal et en ĂȘtre complice sont heureusement deux choses bien diffĂ©rentes. Le meilleur usage de la libertĂ© est de combattre le mal, en soi et hors de soi, sans exiger ni mĂȘme rĂȘver de l’éradiquer, mais en dĂ©sirant l’énergie spirituelle requise pour nous engager rĂ©ellement dans la voie de notre idĂ©al. En prĂ©fĂ©rant le plus grand des risques Ă  leur asservissement, les civils ukrainiens nous rappellent aussi que la libertĂ© est fille de la mort, ce dont tĂ©moignent les cimetiĂšres militaires, si vite oubliĂ©s; oubliĂ© aussi le souvenir de tous les vaincus qui ont prĂ©fĂ©rĂ© le suicide au dĂ©shonneur, de tous les esclaves qui ont pris le risque de la rĂ©volte, de tous les croyants qui n’ont pas trahi leur Dieu quand on les sommait de le faire, de tous les savants qui ont prĂ©fĂ©rĂ© la vĂ©ritĂ© Ă  l’opinion du plus fort, de Socrate, de SĂ©nĂšque et de tous ceux qui comme eux ont suivi des principes plus chers Ă  leurs yeux que leur propre vie. Cette libertĂ© profonde suppose l’existence d’une seconde dimension, spirituelle, dans l’ĂȘtre humain, elle peut aussi prendre appui sur l’espĂ©rance d’une autre vie aprĂšs la mort. On se prend Ă  prĂ©sumer que ces conditions existent encore en Ukraine. Elles sont presque partout menacĂ©es par la montĂ©e du matĂ©rialisme et de l’unidimensionnalitĂ©. Dans ce contexte, le mal, y compris la maladie, le malheur et la mort peut-il encore avoir un sens? Est-il encore possible de composer avec lui, de se limiter au moindre mal dans l’action? Ou ne reste-t-il plus qu’à mener contre lui une guerre totale, avec des mobiles associĂ©s Ă  des utopies promettant le paradis sur terre ? Le combat contre le mal devient alors une menace pour la libertĂ©. Les conversions au bien ne pouvant venir de la vie intĂ©rieure, qui n’existe plus, le progrĂšs escomptĂ© nĂ©cessite un contrĂŽle et une surveillance sans cesse accrus, scĂ©nario dont Orwell 1984 et Huxley Le meilleur des mondesont fait une analyse donnant Ă  entendre que l’homme rĂ©duit Ă  ses seuls moyens ne peut s’amĂ©liorer qu’en renonçant Ă  sa libertĂ©, une libertĂ© que les sciences humaines, au mĂȘme moment, ont prĂ©sentĂ©e comme une illusion. Relire Beyond Freedom and Dignity et Walden Two Dans ce scĂ©nario, le mĂ©canique, sous toutes ses formes, y compris la forme administrative, se substitue au vivant pour une raison trĂšs simple les machines, alliages de raison dĂ©sincarnĂ©e et de minĂ©ral, peuvent ĂȘtre portĂ©es Ă  un trĂšs haut degrĂ© de perfection. Elles s’élĂšvent ainsi au-dessus du couple mal-libertĂ© qui caractĂ©rise le vivant et suit sa hiĂ©rarchie. Il n’y a ni mal ni libertĂ© dans la matiĂšre inanimĂ©e. À la vision spiritualiste du monde Ă©voquĂ©e prĂ©cĂ©demment se substitue alors cette vision transhumaniste la perfection sera de ce monde, mais par le moyen de la seule chose que l’homme dieu sait faire mieux que le CrĂ©ateur des machines, auxquelles il ne peut que ressembler de plus en plus. On voit par lĂ  que la minĂ©ralisation de la terre n’est pas seulement un problĂšme environnemental mais aussi une atteinte Ă  la libertĂ©.
Etsi la mort n'existait pas (Partie 1 et 2) ET SI LA MORT N'ETAIT QU'UN PASSAGE. RĂ©alisation: ValĂ©rie Seguin et Dominic Bachy PrĂ©sentation : AurĂ©lie Godefroy – Narration : François-Eric Gendron Ce film prĂ©sente les Ă©tudes scientifiques et les diffĂ©rents phĂ©nomĂšnes observĂ©s autour de la mort (EMI, dĂ©corporations, contacts avec les dĂ©funts, visions des
Depuis des siècles, la science n’a eu de cesse de tenter d’explorer et de décrire tous les phénomènes pouvant l’être. On pourrait donc penser aujourd’hui que le monde qui nous entoure n’a pratiquement plus aucun secret pour elle. C’est faux ! de nombreux mystères persistent. Nous pouvons obtenir des réponses rationnelles sur des phénomènes perceptibles mais qu’en est-il des expériences que l’on vit soudainement, des sensations que l’on ressent, des choses que l’on voit sous une forme particulière ? Est-ce le fruit de notre imagination ? Est-ce lié à un monde parallèle ? D’ailleurs, comment parvenons-nous à nous poser ces questions ? En effet, l’exploration scientifique de la conscience n’en est qu’à ses balbutiements. Plonger dans l’inconnu nous permettrait-il de comprendre les phases cachées de cet iceberg qu’est la conscience et de comprendre l’aspect phénoménologique de celle-ci ? Autrefois, les scientifiques pensaient que la conscience variait entre deux états distincts, l’un actif et l’autre inactif. Soit le patient était conscient soit il était inconscient. Au fil du temps, les recherches menées dans le cadre des avancées neuroscientifiques ont permis de démontrer que des patients, même dans un état végétatif, pouvaient répondre à certains stimuli, ce qui décrédibilise les précédentes affirmations. Toujours dans ces évolutions scientifiques, nous avons le neurologue belge Steven Laureys et son équipe du CHU de liège qui ont mené une étude sur l’utilisation d’une nouvelle méthode d’imagerie médicale le PET-scan. Les résultats, publiés dans la Revue scientifique The Lancet, suggèrent que cette méthode permettrait de déceler de manière précise le degré de conscience chez un patient inconscient. De ce fait, les résultats peuvent apporter une explication rationnelle à certaines expériences telles que l’expérience de mort imminente ou encore le syndrome d’enfermement. Cependant, à dater d’aujourd’hui, ces pistes ne sont pas encore optimales compte tenu de la complexité de la conscience mais aussi de son immatérialité. De plus, on l’assimile souvent à la notion ésotérique d’âme ce qui n’aide pas sa définition. Mais nous nous questionnons tout de même sur sa nature est-il possible que la conscience soit en réalité un synonyme de l’âme ? Il s’agit-là d’un questionne- ment de plusieurs millénaires qui a intéressé plusieurs auteurs philosophiques tels que Platon ou encore René Descartes, mais également de nombreux scientifiques. Aujourd’hui, la conscience est devenue un véritable sujet d’étude. Elle est au carrefour de diverses disciplines, allant du scientifique au spirituel. Les chercheurs anglo-saxons considèrent que la conscience, dite consciousness, est un concept à multiples facettes et possède deux dimensions l’arousal et l’awareness. L’arousal est défini comme étant l’état psychologique et physiologique d’éveil. Ainsi, il nous permet de réguler la conscience mais aussi de traiter l’in- formation. De plus, il permettrait de motiver certains comportements dits primaires tels que se nourrir, se mouvoir ou encore fuir face à un danger. L’awareness est quant à lui décrit en psychothérapie comme étant la conscience de soi et de l’environnement tenant compte de l’expérience du corps et des émotions ressenties. De ce fait, il nous permet de percevoir, ressentir et identifier les évènements qui nous entourent. Ainsi, à titre d’exemple, pour une personne dans un état de conscience dite normale, les deux dimensions de la conscience sont présentes tandis que dans le cas d’un état végétatif, seulement l’awareness est présent. En neurologie, on se focalise sur le siège de la conscience. On considère qu’une lésion au niveau du tronc cérébral, centre du système nerveux, entrainerait un dysfonctionnement. On parle alors de conscience altérée. Le syndrome d’enfermement illustre bien cette description. Le locked-in syndrome est un état neurologique dans lequel le patient est éveillé et pleinement conscient. Les fonctions cognitives sont intactes. Ainsi, les deux dimensions de la conscience arousal et awareness sont préservées. Cependant, le patient ne peut ni parler, ni bouger. Il est paralysé et son corps devient sa prison. Ce phénomène résulte majoritairement d’un accident vasculaire cérébral AVC détruisant une partie du tronc cérébral. La récupération se fait très lentement et les capacités motrices sont rarement récupérées dans leur totalité. De nombreux livres ont été écrits à ce sujet notamment celui de Jean-Dominique Bauby, intitulé Le Scaphandre et le Papillon. Les personnes ayant été victime du Locked-in syndrome décrivent cette expérience comme traumatisante. Dans la plupart des cas, le corps est défini par les patients comme étant un fardeau, une cage ou encore une prison. Ils se sentent comme emmurés dans leur propre corps mais aussi très seuls. Certains témoignages comme celui de Caroline, jeune étudiante victime de LIS, nous explique que le fait de ne pas pouvoir communiquer avec l’extérieur renforce cette solitude. De plus, au fil des jours, ils se sentent de plus en plus petit dans leur corps et certains parviennent à se voir hors de leur corps. Article de Dounia Boussetta
Q5Zvc. 442 376 59 123 474 67 401 185 208

et si la mort n existait pas