Maladied'Aujeszky : Vaccin et démarrage du groupe de suivi de la surveillance La maladie d'Aujeszky est due à un herpesvirus. Elle touche habituellement les suidés (porcs et sangliers)

Le syndrome de Cotard est une étrange forme de trouble mental qui pousse les personnes qui en souffrent à penser que l'un de leurs organes est pourri, mort, ou qu'elles sont elles-mêmes déjà trouble semble tout droit sorti d'un film d'horreur et est même apparu dans la série américaine Hannibal, et pourtant, il est bel et bien réel. Également appelé "syndrome du cadavre ambulant" en anglais "Walking corpse syndrome", le syndrome de Cotard est un trouble mental aussi rarissime qu'étrange. Il se caractérise par l'apparition d'un ou plusieurs délires totalement dénués de sens et généralement liés à la mort. Ainsi, les patients atteints de ce syndrome peuvent penser que l'un de leurs organes ou qu'une partie de leur corps est en train de "pourrir" ou qu'il est déjà mort. Certains pensent que c'est leur corps tout entier qui est mort ou qu'ils n'existent même plus. Le syndrome de Cotard est observé au cours de syndromes mélancoliques classés parmi les symptômes dépressifs graves. Ce type de délire est de moins en moins courant, notamment du fait d’une prise en charge plus précoce de la sont les symptômes du syndrome de Cotard ?Si ce trouble est essentiellement mental, il peut avoir des conséquences physiques dramatiques. Pensant qu'ils sont déjà ou quasiment morts, les patients négligent bien souvent leurhygiène personnelle et même leur santé physique. Plus de 50%des personnes atteintes rapportent se sentir en quelque sorte immortelle, ce qui peut les conduire à un comportement fatal. Le syndrome de Cotard se manifeste par trois types de délires différents qui affectent les patients qui en souffrent La négation du monde, de son corps et de ses organes les patients atteints du syndrome de Cotard sentent leurs organes se putréfier et se détruire. Ils en nient ensuite l’existence et affirment ne plus être en idées de damnation atteints de graves délires, les patients touchés par cette maladie psychiatrique se sentent souillés, mauvais et capables de contaminer les autres par le regard ou la sentiment d’immortalité et une impression de grandeur les patients ont la certitude de ne pas pouvoir mourir. Ils se perçoivent un peu à la manière d’un “mort-vivant”.Concernant l’ensemble des symptômes, ils diffèrent selon les phases de délire du patient. Ces phases s’accompagnent généralement d’hallucinations, de troubles de la perception sensorielle, d’une perte de vision mentale… Les patients peuvent aller jusqu’à l’auto-mutilation, voire, dans les cas extrêmes, jusqu’au Mademoiselle XEn janvier 2015, Haley Smith, une adolescente de 17 ans atteinte du syndrome témoignait pour le Daily Mail "Un jour, quand j'étais en cours d'anglais, j'ai eu cette sensation très étrange que j'étais morte et je n'arrivais pas à la faire partir. En rentrant chez moi, j'ai pensé à visiter un cimetière juste pour être proches d'autres qui étaient aussi morts". Le syndrome a été décrit pour la première fois en 1882 par le neurologue français Jules Cotard suite à la découverte d'une patiente, Mademoiselle X, qui pensait qu'elle n'avait plus de cerveau, ni nerfs, ni buste, ni estomac, ni intestins. Paradoxalement, elle pensait qu'elle était éternelle et vivrait indéfiniment. Jugeant ne plus en avoir besoin, elle a cessé de s'alimenter et en est finalement les spécialistes, ce trouble mental peut survenir du jour au lendemain mais est généralement rencontré chez des personnes souffrant déjà de troubles mentaux, de dépression clinique ou de maladie neurologique. Toutefois, en 1996, un Écossais s'est vu diagnostiquer le syndrome après une blessure au crâne provoquée par un accident de moto. Des régions cérébrales déconnectées Si le syndrome reste assez mystérieux, les scientifiques ont une piste quant à son origine. Il serait lié à un dysfonctionnement dans deux aires du cerveau le gyrus fusiforme qui intervient dans la reconnaissance des visages et l'amygdale qui est associée aux émotions. À cause de ce dysfonctionnement, les patients ne ressentiraient plus aucune émotion, ni sentiment de familiarité, en se regardant dans le absence d'association conduirait alors à une déconnexion de la réalité et à l'apparition de la sensation d'être mort ou de ne plus exister. Néanmoins, les circonstances et symptômes sont très variables d'un patient à l'autre, rendant le trouble d'autant plus difficile à traiter. A l'heure actuelle, il n'existe pas de réel traitement mais les médecins ont réussi à soigner des patients à l'aide d'antipsychotiques, d'antidépresseurs et de traitement par les symptômes persistent parfois chez les malades. Si elle n'est pas encore totalement guérie, Haley Smith a confié que le diagnostic de sa maladie l'avait beaucoup aidée. Elle se sent aujourd'hui mieux grâce à une thérapie qu'elle poursuit et grâce aux... films Disney. "Regarder des films Disney me donne une sensation réconfortante. Comment pourrais-je être morte quand Disney me fait sentir aussi bien ?", a-t-elle conclu.

Lamort est la maladie des bien portants et des malades. Quand on n'est pas malade, on est encore quelqu'un qui doit mourir. Vladimir Jankélévitch On peut déclamer sa maladie ou réciter

Il est assez normal et légitime que l’idée de mourir soit inquiétante ou effrayante. Mais cette peur, poussée à l’extrême, peut être maladive et déboucher sur ce qu’on appelle la thanatophobie. Quelles sont les causes de cette dernière ? Comment se manifeste-t-elle ? Quelles sont les solutions de remédiation possible ? L’essentiel à savoir sur le concept de la thanatophobieQuelles sont les causes de la thanatophobie ?Quelles sont les personnes à risque de la thanatophobie ?Quelques symptômes de la thanatophobieComment se fait le diagnostic de la thanatophobie ?Quels traitements pour lutter contre la thanatophobieComment prévenir la thanatophobie ? L’essentiel à savoir sur le concept de la thanatophobie Le mot thanatophobie provient du grec ancien thanatos » qui veut dire mort » et phobie » qui veut dire peur ». À la différence de la nécrophobie qui est la phobie des cadavres, la thanatophobie désigne une crainte excessive, profonde et durable de la mort. Une anxiété est donc provoquée chez la personne exposée à un objet ou à un contexte évoquant la mort. Elle survient à travers des signes cliniques, et conduit le plus souvent à des attitudes d’évitement. La thanatophobie représente une crainte abusive et accrue de la mort en général, de sa propre mort ou de celle de ses proches. Elle est à l’origine d’importantes perturbations dans la vie de l’individu concerné. Ces perturbations peuvent être psychologiques, physiques, sociales, familiales ou professionnelles. Cependant, la thanatophobie ne se résume pas uniquement à la peur de perdre la vie. C’est aussi la peur de cesser d’exister, d’être oublié, d’être plein de remords ou de culpabilité, de ne plus être lié à ses proches, de rater sa vie, etc. La plupart des personnes qui éprouvent cette peur en sont pleinement conscients. Certaines personnes en revanche préfèrent la nier ou éviter d’y penser. Dans ce dernier cas, la thanatophobie peut déboucher sur des situations pathologiques et handicapantes. Quelles sont les causes de la thanatophobie ? Comme toute autre phobie, la thanatophobie peut provenir d’un évènement traumatisant tel que la vue d’un cadavre ou la perte d’un proche, notamment dans l’enfance. Elle peut être également d’origine parentale. Il faut retenir qu’aucune cause évidente n’est encore établie. Elle traduit simplement dans certains cas un excès d’anxiété. Quelles sont les personnes à risque de la thanatophobie ? Toute personne en âge d’avoir conscience de l’existence de la mort, de sa nature inévitable, irrémédiable et définitive, peut être touchée par la thanatophobie. Elle peut donc survenir dès 7 ou 8 ans, âge auquel l’on accède aux pensées abstraites. Certaines personnes sont par ailleurs plus susceptibles d’être atteintes de cette phobie. Les personnes avec un tempérament anxieux et très sensibles ; Les personnes atteintes d’une pathologie chronique dont le risque de mort est aléatoire ou certain pathologies cardiaques, maladie cancéreuse avec pronostic viral, pathologies incurables… ;Les personnes sujettes à des troubles psychiques et dépressifs ;Les personnes qui ont du mal à vivre dans le moment présent et sont sans cesse dans l’anticipation ;Les individus chargés de conduire leurs proches en soins palliatifs par exemple ;Les personnes souffrant d’agoraphobie peur de se retrouver dans une situation dangereuse et ne pas pouvoir en être sauvé ;Les sujets atteints de claustrophobie peur de mourir par étouffement ;Les personnes se retrouvant en présence d’une image ou d’un contexte de mort certains métiers du domaine médical, funéraire… ; Les personnes âgées sont également susceptibles d’être atteintes par cette angoisse de mort. Cette dernière qui se manifeste le plus souvent chez eux, sous forme d’angoisses nocturnes. Les adolescents constituent enfin une autre catégorie de personnes pouvant potentiellement être touchée. Ils peuvent en effet vivre des périodes d’angoisse de mort, se traduisant par une attirance à l’égard des symboles morbides. Cela est inclut dans leur processus de maturation psychique vers l’âge adulte. Quelques symptômes de la thanatophobie La thanatophobie peut s’exprimer au moyen de mécanismes de défense de soi, ainsi que d’autres symptômes pouvant varier selon les individus et leur personnalité. La crainte de la mort se manifeste essentiellement par Un haut niveau de conduite envers soi et les autres rigidité généralisée, comportement intransigeant ou intolérable ;Un trouble obsessionnel compulsif Toc ;Une hypocondrie obsession d’être atteint d’une grave maladie comme un cancer ;Des addictions alcool, jeux vidéo pour tenter de calmer l’angoisse ;Des pensées obscures pouvant conduire à la dépression ;Une attaque de panique battements brutaux du cœur, frissons, etc. ;Des agitations dans le sommeil cauchemars, insomnies, etc ;Des troubles de l’alimentation. D’autres phobies comme la peur de l’avion ou la peur de la foule peuvent être observées. On note également chez le thanatophobe, une impossibilité d’aller à l’hôpital ou dans un cimetière, de laisser ses enfants seuls, d’avoir des couteaux chez soi, de voyager, etc. Comment se fait le diagnostic de la thanatophobie ? Certaines conditions pouvant être confondues avec la thanatophobie sont à considérer avant le diagnostic. Il s’agit notamment, des troubles du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité, de la dépression et des troubles bipolaires souvent en rapport avec ce type de phobie. Il existe également des conditions non diagnostiquées telles que les troubles de concentration, la maladie d’Alzheimer, la schizophrénie et bien d’autres, qui peuvent être liés à la thanatophobie. Le diagnostic de la thanatophobie repose sur la présence d’une peur aiguë et durable ressentie, face à des objets ou à des événements liés à la mort. Ce diagnostic est uniquement approprié, dans le cas où la peur d’être confronté à la mort entrave les activités quotidiennes ou la dynamique professionnelle du patient. Ce dernier doit alors en discuter avec un médecin qui, après avoir éliminé toute condition physique, peut l’orienter vers un expert de la santé mentale. Les symptômes doivent être présents depuis au moins six mois chez les sujets de moins de 18 ans, avant que ce diagnostic puisse être posé. Quels traitements pour lutter contre la thanatophobie Une prise en charge n’est pas toujours nécessaire en cas de thanatophobie. Si aucune conséquence particulière ne s’est produite dans la vie du sujet concerné, il est possible de la maîtriser et de s’en accommoder. Si la vie quotidienne est en revanche perturbée, le sujet doit recourir à une psychothérapie pour traiter sa crainte de la mort. Dans ce cas, le type de thérapie est choisi en fonction des motivations de l’individu phobique, ainsi que du temps et de l’énergie dont il dispose. La thérapie cognitivo-comportementale Son objectif est d’atténuer ou d’éliminer les symptômes qui accompagnent la phobie. Elle peut soulager les personnes affectées en quelques mois. Ce traitement consiste à exposer progressivement le patient à la situation qui lui fait peur, jusqu’à ce qu’il soit en mesure de contrôler son anxiété. La thérapie analytique Elle consiste en la verbalisation de la peur. C’est une thérapie par la parole, qui permet d’effectuer un travail profond sur soi-même afin de cerner l’origine de la phobie. L’hypnothérapie Elle permet au patient d’explorer la réalité et la manière dont il la voit, à travers un jeu d’attention qui implique son imagination. Cela a pour effet de réduire l’importance des symptômes de la pathologie. L’EMDR intégration neuro-émotionnelle par les mouvements oculaires Il s’agit d’une thérapie permettant d’apaiser l’angoisse de mort, surtout quand celle-ci provient de traumatismes vécus. Cette thérapie utilisée par certains psychologues et psychiatres, s’appuie sur les mouvements oculaires pour atténuer les symptômes de la thanatophobie. À ces différentes thérapies, peut s’ajouter, selon les cas, une prescription d’anxiolytiques pris de façon ponctuelle pour apaiser les troubles anxieux. Ils sont surtout indiqués quand la personne s’apprête à affronter l’objet de sa phobie aller à l’hôpital pour des soins ou pour une intervention par exemple. Comment prévenir la thanatophobie ? La peur de mourir devient pathologique et handicapante, notamment pour ceux qui préfèrent la nier ou ne pas y penser. L’un des meilleurs moyens de la prévenir, est de permettre une discussion libre sur le sujet. Il est important d’oser discuter de la mort avec ses proches. Si possible, pourquoi ne pas régler des formalités administratives comme établir un testament ou faire une demande d’assurance décès. Cela peut aider à mieux gérer sa peur de mourir, à se rassurer, à lever certains doutes, et à reprendre le contrôle sur ses angoisses. Cela crée un sentiment de maîtrise sur sa mort, qui peut être très utile pour celui qui a peur de mourir. D’autres mesures peuvent être aussi adoptées, pour mieux prévenir cette panique de la mort. Faire la lecture Lire les grands philosophes qui ont développé des thématiques au sujet de la mort Sartre, Platon, Hegel, Epicure, Heidegger… ; S’informer sur la thérapie existentielle mise en œuvre par le psychothérapeute et psychiatre, Irvin Yalom Il propose un exercice pratique qui vise à imaginer ses funérailles et à les décrire de la manière la plus précise possible. Cela permet de faire le bilan de ses priorités, de ce qui importe pour soi, et d’éveiller une prise de conscience. Établir un génogramme Il s’agit de l’arbre généalogique qui renseigne sur les différents membres de sa famille noms, dates de naissance, mentions sur les pathologies, etc.. Cela permet de comprendre les évènements mémorables dans sa famille, et de déterminer les causes de certains vécus difficiles pour mieux s’en libérer. Le génogramme peut être utilisé comme outil de base en psychothérapie. Une meilleure compréhension du passé peut aider à une bonne appréhension de l’avenir. Faire des albums photos va aussi permettre de garder une trace des expériences, des souvenirs et des visages de manière tangible. Opérer des changements actifs dans sa vie L’idée est de se concentrer sur divers aspects de sa vie, tels que la famille, le travail, le couple et les amis. Cela permet d’identifier ce qui cause de l’inconfort ou de la souffrance, afin d’en modifier les modalités. C’est une bonne occasion pour faire des évaluations régulières et complètes de sa vie, afin d’éviter la culpabilité, les remords ou les regrets. Cela peut inclure la réalisation d’un projet un nouvel emploi, de nouvelles formations, des dons humanitaires, etc. ou le renouement avec un proche de longue date. Adopter une religion ou une spiritualité conforme à ses croyances peut également aider à se soustraire de ses angoisses. L’on peut dès lors, se projeter dans l’avenir avec plus de sagesse et de certitude.
Lesautorités indiennes ont annoncé lundi 1er août 2022 la mort d’un homme contaminé par la variole du singe, récemment rentré des Emirats Arabes Unis, ce qui pourrait constituer le
Peu de gens connaissent l’existence du syndrome de Cotard. La littérature scientifique a pourtant répertorié plus de 200 cas de cette maladie depuis qu’elle a été décrite en 1880 par le neurologue français Jules Cotard. Il s’agit d’une pathologie psychiatrique rare qui apparaît souvent au cours de syndromes dépressifs graves, également appelés syndromes mélancoliques. Le syndrome de Cotard est décrit comme un délire des négations » qui pousse le patient à croire que son corps est dépourvu d’organes et qu’il est immortel ou qu’il est déjà mort. Crédits Pixabay Jusqu’à ce jour, les experts ignorent l’origine de cette maladie. Ils privilégient la piste d’un dysfonctionnement au niveau du gyrus fusiforme du cerveau, mais cela reste encore à vérifier. Une pathologie aux symptômes étranges Au moment où Jules Cotard a découvert cette pathologie, il a présenté à la communauté scientifique le cas d’une femme de 43 ans qui pensait être dépourvue de tous ces organes. Au départ, il pensait qu’il s’agissait d’une simple dépression, mais c’était bien plus que cela. En creusant, des scientifiques ont émis l’hypothèse qu’il s’agissait plutôt d’un délire nihiliste » qui pousse le malade à mettre en doute sa propre existence. Les symptômes de cette maladie sont peu communs. Les médecins ont noté chez certains patients une négation du monde, une perte de la vision mentale, un sentiment d’immortalité, des troubles anxieux dépressifs, des préoccupations hypocondriaques ou encore des idées suicidaires. Certains malades se laissaient même dépérir en refusant de manger, croyant qu’ils n’en avaient pas besoin. À lire aussi Si vous avez un goût prononcé pour les objets de luxe, alors il se pourrait que vous soyez affectés par ce syndrome bizarre Des malades qui se prennent pour des morts-vivants Le plus étonnant avec le syndrome de Cotard, c’est qu’une partie des patients qui en souffrent croient que leurs organes internes pourrissent dans leur corps. Certains d’entre eux pensent être déjà morts et sont convaincus d’être des morts-vivants. » D’après les experts, il existerait trois groupes différents du syndrome de Cotard. Les symptômes du premier groupe seraient similaires à ceux de la dépression psychotique. On retrouve ensuite le Cotard de type 1. Les personnes qui en souffrent présentent le syndrome de Cotard et des délires nihiliste. Le Cotard de type 2, quant à lui, est accompagné de troubles anxieux, d’une dépression et de délires auditifs. Ce syndrome aurait touché des personnes connues comme le chanteur Per Yngve Ohlin, du groupe Mayhem, ou encore le tueur en série Richard Chase. Puisquelles ne sont pas nocives, on a continué à les utiliser dans des thérapies avec d'autres médicaments pour traiter la maladie de Lapeyronie. Les médicaments oraux tels que le PABA, en combinaison avec la col. et la vitamine E, sont très efficaces pour traiter la courbure à un stade précoce. Ce traitement est utilisé au debout MA VIE AU POSTE – Au nom de l’éthique journalistique, Ivan Rioufol reçoit sur CNews un grand scientifique injustement boycotté par la plupart des médias, Christian Perronne on ne peut plus rien dire. L’invité a brillamment démontré, absence de preuves à l’appui, que les vaccins étaient les principaux responsables des ravages causés par le Covid-19. Les débats montrent la grande qualité intellectuelle des cinq candidats, se réjouit Ivan Rioufol. Ils sont tous bons, ils disent tous des choses sensées. » À l’approche du troisième débat des candidats LR à la présidentielle, organisé par CNews, l’éditorialiste du Figaro évalue leurs chances dans l’émission dont il est la vedette, Les points sur les i. Laurent Wauquiez a renoncé à se présenter alors qu’il représente précisément cette ligne identitaire, cette ligne de la renaissance française. » Et de l’amitié entre les peuples. Ciotti, avec beaucoup de talent, est en train de fédérer tout ce nouveau courant conservateur. » Et humaniste. On a un paysage qui se droitise, estime Véronique Jacquier, on en a largement parlé sur CNews, avec des thèmes comme l’immigration, comme l’insécurité. » En effet, on ne parle sur CNews que de thèmes comme l’immigration, l’insécurité. Le paysage est ultra-favorable et les LR sont dans une bonne dynamique. » Dans le paysage de CNews. © CNews Comme Ivan Rioufol critique la politique menée par la droite au pouvoir ces dernières décennies, l’animateur du débat », Thomas Lequertier, demande La droite doit s’excuser ? — Pourquoi pas ?, réagit l’éditorialiste. Ils auraient à s’excuser de leur angélisme, de leur suivisme, de leur conformisme, de leur politiquement correct. » De leur wokisme. Un seul candidat de la primaire trouve grâce à ses yeux. Ciotti est le seul à ne pas avoir voté Macron lors de la dernière présidentielle. Ciotti est le seul à avoir défendu Eric Zemmour. » Le seul ne pas avoir succombé à la bien-pensance. Las, il y en a encore chez les LR à aller vers le centrisme plutôt que vers la radicalité ». Vers l'’antiracisme plutôt que vers le politiquement incorrect. Applaudissons au fait que les LR durcissent leur discours mais j’ai un doute sur leur sincérité. » Méfions-nous de l’islamo-gauchiste qui sommeille chez le raciste. © CNews Les LR ne sont pas sortis de l’auberge, avertit Véronique Jacquier. Il faudrait que le champion de la droite, le 4 décembre [jour de la primaire], soit en capacité de commencer à écrire une histoire d’amour avec les Français. — C’est beau, ce que vous dites », s’émeut Thomas Lequertier. Beau comme une histoire d’amour avec Éric Ciotti. Mon sentiment personnel est que Ciotti semble avoir pris l’air du temps, insiste Ivan Rioufol. Si les LR restent sur leur quant-à-soi, ne veulent pas paraître trop populistes, trop réactionnaires, trop nostalgiques, cette droite perdra. » Conseil d’expert soyez aussi populistes, réactionnaires et nostalgiques qu’Ivan Rioufol. Thomas Lequertier accueille l’invité vedette de l’émission. Christian Perrone, vous êtes le spécialiste des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital de Garches. » Dont il était chef de service avant d’être démis par l’AP-HP pour propos considérés comme indignes de la fonction qu’il exerce ». Ivan, pourquoi avoir invité le professeur Perrone sur CNews ? — Pour avoir un autre son de cloche, d’un grand spécialiste des vaccins que l’on n’entend plus. » Victime de la censure. D’ailleurs, je me demande bien pourquoi on ne vous entend plus ou du moins je crois le comprendre. C’est parce que vous avez été de ceux qui depuis le départ avez émis des réserves sur la dramatisation excessive de cette panique sanitaire. » Notamment dans un documentaire, Hold-up, dont la rigueur scientifique n’est plus à démontrer. On n’a pas voulu vous entendre sur les traitements, sur vos réserves sur la politique vaccinale. Et on vous a même sanctionné, vous étiez chef de service, vous avez été sanctionné et visiblement les médias rechignent à vous inviter. » Mais chacun sait que les médias sont noyautés par l’ultragauche sanitairement correcte. © CNews Ivan Rioufol se justifie Je vous ai invité pour que l’on parle des faits, qu’on cesse avec ces idéologies. » Marre des idéologies. Seul Ivan Rioufol est exempt de tout parti-pris idéologique. Je rends hommage à votre professionnalisme, le félicite Christian Perronne, parce que les journalistes doivent vérifier les sources de tout ce qu’ils avancent. — C’est élémentaire », revendique l’éditorialiste, dont les sources vérifiées ont révélé que l’université est en écriture inclusive » et que la France est gangrenée par des petits Kosovo ». Première question, est-ce que vous êtes d’accord avec ce qu’a dit le porte-parole du gouvernement sur cette grande cinquième vague qui s’apprête à être apocalyptique comme l’avait été annoncée la quatrième qui finalement ne l’avait pas été ? » On nous avait menti, une fois de plus. Sur cette cinquième vague, si ce n’était si dramatique, je rigolerais, répond l’invité. Y a pas de cinquième vague, l’épidémie est quasiment terminée en France. » Enfin une bonne nouvelle. Fini le port du masque, la distanciation, les classes fermées, on peut reprendre une vie normale. © CNews Ivan Rioufol produit une preuve indubitable, le graphique pour illustrer le nombre de morts dans l’évolution de cette année. — Voilà, on est sorti de la crise ». En effet, le nombre de décès est ridiculement faible. Tous les pays du monde qui n’ont pas vacciné n’ont plus d’épidémie. Comme par hasard. Mais tous les pays qui ont vacciné de façon massive voient des rebonds de l’infection, des morts, etc. » Voilà la preuve que le vaccin tue. On pourrait vous dire que s’il n’y a pas de mort c’est parce que la France a vacciné massivement, objecte Ivan Rioufol. — Nan parce que la France était en retard par rapport à d’autres pays qui ont vacciné massivement donc on verra peut-être les conséquences du vaccin un petit peu plus tard. » Ça va être une hécatombe bien que l’épidémie soit quasiment terminée. Aujourd’hui, on le sait de la Grande-Bretagne, les gens qui sont vaccinés meurent quatre fois plus du Covid que les non-vaccinés. » Le vaccin tue. Mais alors pourquoi est-ce que ce n’est pas répercuté ? », s’indigne Ivan Rioufol. Parce qu’on ne peut plus rien dire, même pas que le vaccin tue. C’est pour ça que je parle plus dans les médias, explique Christian Perronne, parce que le CSA avait dit à la fin de l’année dernière il faut plus inviter Perronne sur les plateaux parce qu’il est complotiste. » Perronne, complotiste ? À ce compte-là, Rioufol est raciste. Mais par exemple dans mon dernier livre, y a soixante pages de références. » À des études de l’IHU, c’est vous dire si elles sont sérieuses. Je suis fier de moi parce que comme j’ai géré pendant quinze ans les épidémies, la vaccination avec le gouvernement français, avec l’OMS… — Vous étiez un Monsieur Vaccin. » Sa compétence ne saurait être mise en doute. D’ailleurs, il est édité par une maison très sérieuse, Albin Michel. © CNews On peut vous faire une objection, relève toutefois Ivan Rioufol. Il est normal qu’il y ait des morts doublement vaccinés parce que la Grande-Bretagne a beaucoup vacciné donc, dans la proportion, comme on sait que les vaccins ne protègent pas… » Qu’ils sont inutiles… … On pourrait comprendre qu’il y ait des morts multi-vaccinés. — J’ai toujours été pour les vaccins. Là, on nous a fait croire que ces produits étaient des vaccins et c’est pas des vaccins. — Ce ne sont pas des vaccins ?— Beh non ! Imaginons que ce soit des vaccins. Un vaccin, ça protège de la maladie or on voit que les vaccinés font autant de maladie que les autres. » Pire, ils en font plus, et ils en meurent plus. Un vaccin, ça évite de porter le virus ou de le transmettre, on voit que les vaccinés transmettent autant voire plus que les autres. » Le vaccin est facteur de propagation. Un vaccin, ça protège contre les formes graves. On voit que dans beaucoup de pays, la grande majorité des gens en réanimation sont des gens vaccinés. » Infectés par le vaccin. Le gouvernement dit quand même, et il semble y avoir un consensus là-dessus, que ces vaccins protègent des formes les plus graves, remarque Ivan Rioufol. — Absolument pas. C’est l’inverse qui se produit. L’Angleterre montre l’inverse, Israël montre l’inverse. Si vous regardez le monde entier, tous les pays pauvres qu’on pas pu s’acheter le vaccin, l’épidémie est terminée. » Heureux pays pauvres. Tous les pays où l’épidémie continue de flamber, de faire des morts, c’est les pays qui vaccinent à fond. » Les pays sacrifient sciemment leur population en lui injectant des vaccins de la mort. Regardez l’exemple de l’Inde. Il y a des états, la grande majorité, qui voulaient pas du vaccin ou qu’avaient pas les moyens de l’acheter, ils ont recommandé et ils ont même donné de l’Ivermectine, de l’Azythromicine, du zinc, de la vitamine D… » Du jus de brocoli, de l’extrait de céleri… L’épidémie est terminée dans ces états, y a plus de morts. » Pour échapper à la troisième dose, je vais m’exiler en Inde. © CNews Pardonnez-moi, s’impose Thomas Lequertier, je vous coupe parce que c’est important ce que vous dites ce soir et je voudrais que ce soit très bien interprété. » Pas de souci, c’est très clair le vaccin tue. Sur la courbe que vous nous avez montrée tout à l’heure, on voit très bien que le nombre de morts diminue au fil des mois. On voit aussi très bien qu’il y a un lien avec la vaccination en France. Plus on vaccine et plus la courbe descend. — Pas du tout, parce que le gouvernement nous annonce une cinquième vague, ce qui est exagéré. » La cinquième vague qui n’existe pas prouve que le vaccin fait des ravages. Tout virus, quand il s’attaque à l’homme, au fil des mois, il perd de sa virulence, c’est comme ça depuis la nuit des temps dans l’histoire de la médecine. » Par exemple, le virus du Sida est devenu bénin. Les nouveaux variants, le variant delta, le variant indien, le variant je-sais-pas-quoi, ils en ont inventé des tonnes… » Pour faire peur aux gens. … Ils sont de moins en moins virulents. » Un jus de carotte suffit à les terrasser. Aujourd’hui, résume Christian Perronne, le Covid est une maladie bénigne, il y a encore quelques morts chez des personnes avec des facteurs de risque majeurs, très âgées, mais ça n’a rien à voir avec la première vague. — Donc vous convenez que la première vague, ce n’était pas bénin, rebondit Ivan Rioufol. — Non, c’était pas bénin pour des gens très à risque, les plus de 85 ans, les grands obèses, les grands diabétiques. Mais si on les avait traitées, y aurait presque pas eu de morts. Toute l’expérience des médecins dans le monde et des pays qui ont traité ont montré que si on traitait par l’hydroxychloroquine, l’Azythromicine, l’Ivermectine… » La décoction de datura, la bave de crapaud, la poudre d’écaille de pangolin… … Y avait pas de mort. » Il suffit de regarder le Brésil. Toutes les lois qui ont soutenu ce vaccin sont totalement illégales, s’insurge Christian Perronne. On peut pas commercialiser en autorisation de mise sur le marché conditionnelle un produit si y a un traitement qui marche. Or y a des centaines de publications qui montrent qu’y a des traitements qui marchent. » La tisane d’ortie, la poudre de corne de rhinocéros, l’urine de chauve-souris… Et ça a été dénié. » A cause du lobby des labos. On peut pas obliger des gens à être vaccinés avec un produit qui est toujours en phase expérimentale. C’est totalement interdit par le code de Nuremberg. » Sauf à appliquer les méthodes des nazis. Le rendre obligatoire, c’est totalement illégal. » C’est fasciste. D’accord, approuve Ivan Rioufol, mais il y a quand même une rationalité chez nos dirigeants, quand vous avez un tel consensus sanitaire de tous les pays avancés sur cette politique vaccinale, c’est sans doute qu’ils voient des effets que vous ne voyez pas. Qui a tort et qui a raison ? — Je vais demander à Emmanuel Macron de regarder la carte du monde, il verra que tous les pays qui vaccinent pas, tout va bien, y a plus d’épidémie. » Il suffit de regarder l’Afrique du Sud. © CNews En plus je refuse d’appeler ça un vaccin, peste encore Christian Perronne. — Vous appelez ça comment ?, s’enquiert Ivan Rioufol. — Des substances thérapeutiques expérimentales qui vont modifier vos cellules. » Pour y introduire une puce de Bill Gates. Un grand dirigeant d’un grand laboratoire qui fabrique des vaccins à ARN messager a dit “Quand on vous inocule ce produit, c’est comme si vous téléchargiez un logiciel pour modifier vos cellules.” » Et les rendre compatibles avec la 5G. Et le nombre d’effets secondaires en ce moment explose. C’est énorme, j’en vois plein autour de moi, et des morts aussi. » Irradiés par les ondes 5G. Moi, ce qui me dérange ce soir dans votre discours, intervient à nouveau Thomas Lequertier, vous nous dites que les pays qui ne vaccinent n’ont plus de morts aujourd’hui et les pays qui ont vacciné ont des morts. Ça voudrait dire pratiquement que le vaccin tue. » Mais bien sûr ! Ce journaliste est vraiment long à la comprenette. Toutefois, rappelle Christian Perronne, heureusement, ça tue pas tout le monde. — Ça me dérange parce que vous affirmez quelque chose… — Mais c’est prouvé, regardez les soixante-dix sportifs, des jeunes en bonne santé, qui sont morts. » Assassinés par le vaccin. Mais est-ce que vous pouvez dire qu’il y a moins de morts dans les pays qui ne vaccinent pas que dans les pays qui vaccinent, ce qui sous-entend que le vaccin tue ? Ça me dérange de vous entendre dire ça. — Il suffit de regarder les cartes du monde. — Vous savez que sur les cartes du monde on va peut-être pas avoir une remontée de toutes les données au Vietnam ou en Chine, insinue Véronique Jacquier. — Le Vietnam, c’est un très bon exemple, réagit Christian Perronne. Y avait presque pas de morts, presque pas de cas depuis le début de la pandémie. Le jour où la vaccination a démarré, on a vu l’épidémie repartir, il y a eu des morts. C’est la même chose dans beaucoup de pays. » Dans les pays d’Europe de l’Est, par exemple. © CNews Alors pourquoi il y aurait plus de morts parce qu’on vaccine ?, s’entête Thomas Lequertier. — Parce que ce n’est pas un vaccin. » C’est un venin mortel. Mais ces personnes qui meurent en étant vaccinés, elles meurent de la Covid-19 ou du vaccin ? — Elles meurent du Covid. Mais y a des morts du vaccin. j’en ai déjà sept autour de moi, des morts du vaccin. Y a soixante-dix sportifs qui sont morts… — Là, vous parlez des effets secondaires, précise Ivan Rioufol. Vous êtes en train de nous dire que ces vaccins-là ont des effets secondaires. — Oui, Il peut y avoir des coïncidences mais quand c’est aussi fréquent, quand tous les gens autour de moi… — Pardon, se rebelle Ivan Rioufol, on voulait parler de faits et là ce ne sont pas des faits, ce sont des témoignages. — Nan, les soixante-dix sportifs morts, c’est des faits. » Rigoureusement non sourcés. Y a la base de données européenne qui montre qu’y a quand même plus de 20 000 morts du vaccin, ajoute Christian Perronne. C’est pareil aux Etats-Unis, y a beaucoup de morts. » Tout ça est très bien documenté par le site France Soir. Moi je le sais par des personnes autour de moi qu’ont eu des problèmes après le vaccin que les médecins ne déclarent pas parce qu’ils ont peur, y a une sous-déclaration. — Ce que vous nous décrivez, c’est une sorte de processus suicidaire d’une logique sanitaire qui irait jusqu’au bout de ses certitudes sachant les dégâts qu’elle causerait, résume Ivan Rioufol. J’ai du mal à imaginer que tous les dirigeants européens suivent cette logique absurde. » C’est oublier leur complot pour exterminer leurs populations. Maintenant les dirigeants ont les données sous les yeux, rétorque Christian Perronne, j’espère qu’ils vont changer leur politique. » Et promouvoir la liqueur de rosée. C’était votre avis, conclut Thomas Lequertier, vous l’avez partagé sur CNews et on rappelle que vos propos n’engagent que vous mais vous avez le mérite d’être venus les défendre ici. » À l’invitation de CNews. Une invitation qui n’engage que CNews. Coronavirus Épidémie santé CNews Ma vie au poste, la chronique de Samuel Gontier Partager Contribuer
Uneloi qui offre la mort à un groupe et qui offre des traitements et de l’aide à un autre groupe est en fait parfaitement discriminatoire. Le gouvernement canadien s’apprête à vouloir étendre l’accès à l’aide médicale à mourir en sachant bien que les soins palliatifs ne sont pas offerts à tous, tout comme l’aide aux handicapés ou les soins de santé mentale.
Vêtements, gadgets, bibelots, photos... Depuis des années, vous entassez tout et n'importe quoi ? Vous accumulez de façon compulsive sans être capable de jeter ? Sachez que vous êtes syllogomane. Ce trouble psychique n'est pas si anodin qu'on pourrait le croire. Il peut devenir étouffant et menaçant pour les proches qui subissent la multiplication des objets dans la maison. Ce mal peut parfois se retrouver dans des troubles mentaux comme la schizophrénieou dans des cas d'hyperactivité. Plus gravement, il peut se transformer en "syndrome de Diogène" et coincer la personne malade sous ses propres objets accumulés maladivement... parfois jusqu'à la mort. Certaines sociétés se sont crées pour aider les personnes atteintes de syllogomanie. Contactée par Le Figaro, Anouk Le Guillou responsable de la société Place Nette explique "On m'appelle en me disant “Au secours, j'ai un problème de placards”…, et peu à peu, en visitant l'appartement, je découvre qu'il y a trop d'objets partout. [...] Ces personnes ne savent plus comment s'en sortir entre leurs attachements affectifs aux objets et leur peur de manquer, elles se retrouvent incapables de faire des choix, et de jeter." D'après cette interlocutrice, 60 à 65% de ses clients ont connu ou connaissent la déprime. "Ils se sont laissé envahir au moment où ils allaient mal et n'en sont pas ressortis." Et bien souvent, quand un membre d'une famille est atteint, il le transmet à d'autres proches. Pour s'en sortir, le seul moyen est de trier régulièrement. Allez, courage !Notre NewsletterRecevez encore plus d'infos santé en vous abonnant à la quotidienne de adresse mail est collectée par pour vous permettre de recevoir nos actualités. En savoir plus. LucMontagnier, prix Nobel de médecine pour la découverte du virus du sida, est mort à 89 ans, mardi, à l'hôpital américain à Neuilly-sur-Seine. Devenu une figure controversée pour RKJxg5. 475 210 252 393 183 475 176 356 327

cette maladie n est pas pour la mort