Ilest vrai que dormir à la belle étoile, c’est vraiment une solution très efficace pour dépenser au minimum lors d’un voyage. Il suffit d’amener son sac de couchage, son hamac ou sa tente et le tour est joué ! Mais il peut arriver que, pour différentes raisons, on se retrouve sans logement, soit on a débarqué un ou deux jours

Qui n'a pas un jour rêvé de dormir dans une cabane perchée, de se coucher aux sons de nature qui s'endort et de prendre son petit déjeuner sur une terrasse dans un arbre ? Si vous avez gardé votre âme d'enfant... jouez avec Cabanes de France et gagner un superbe Coffret Cabanes de France d'une valeur de 130€, Votre coffret contiendra un bon cadeau pour une nuit dans une cabane à deux, petits déjeuners compris, un cahier de coloriages, un livre sur la construction des cabanes et un petit carnet de notes, il vous suffit de relayer l'information !! Pour participer à ce jeu - Faire un post sur votre blog avant le 15 Juin 2009, reprenant l'image ci dessus cliquer dessus pour l'avoir en taille réelle et la marche à suivre - ajouter le site Cabanes de France en lien hypertexte dans le post - envoyer ensuite un mail à cabanesdefrance » avec votre nom, prénom, adresse mail et adresse de blog. Vous recevrez alors un mail de validation ! Pensez à bien noter dans votre billet, les consignes à suivre pour que toutes les participations soient correctement validées. Le tirage au sort aura lieu le 16 Juin !!

déclipse, depuis qu'ils campent à quelque six cents, village africain de la belle étoile en plein centre de Paris, sur le trottoir du boulevard du Temple, tout contre le mur de la Bourse du travail expulsée. Et qui, dans l'« urgence absolue », a reparu pour leur persuader quels sont leurs seuls et uniques intérêts dans leur situation 11 h. Un samedi d’août, à la base du centre d’activités nature Kanatha-Aki, à Val-des-Lacs. Tout le monde est fin prêt. Sac sur le dos, capuchon sur la tête, briefing terminé la mission commence enfin, malgré la pluie. Les patins de l’hélicoptère quittent le sol et l’engin s’envole. On ne peut pas aller se poser sur la montagne prévue. » La voix du pilote Anthony Marcy résonne dans les casques d’écoute. Il y a trop de nuages. J’ai largué le premier groupe plus loin. On fait avec la nature ! »Après quelques minutes de vol au-dessus d’un milieu forestier quasi inhabité des Laurentides, trois petits points colorés apparaissent à l’extrémité d’un vaste marais ; les premiers membres à avoir été largués avec le guide. Nous faisons partie du deuxième groupe. Trois autres participants ferment le bal dans un dernier voyage, puis la libellule s’envole et disparaît derrière l’épais couvert de nuages. Le bruit s’évanouit et le silence marque le coup de départ de 24 heures d’apprentissage de survie en première leçon s’impose d’elle-même regarder où on met les pieds en débarquant d’un hélicoptère en zone marécageuse. Trois des sept membres du groupe commencent l’aventure avec les chaussures détrempées, dont Mouslem Bouchamekh, qui a calé dans les joncs jusqu’au genou. Plus encore, l’ex-soldat algérien, là pour sortir de [sa] zone de confort », s’entête à ne pas porter de manteau imperméable. C’est le premier qu’il faudra surveiller si la pluie continue. Il y a deux semaines, on a un groupe presque entier qui n’a pas traversé la nuit à cause de l’hypothermie et qui a dû se réfugier dans un camp », nous glisse Alexandre Coser, l’instructeur-guide qui dirige le stage de survie Héli-Extrême de Kanatha-Aki. Parce qu’il s’agit bien d’une activité immersive d’initiation et non d’une émission de télévision à la Survivor ou Expédition extrême. Vous êtes là pour apprendre, pas pour vous maganer », a répété Alexandre plusieurs fois pendant la rencontre préliminaire. C’est sur lui que repose la responsabilité de ramener tout le groupe à bon port. Le trajet n’est pas convenu d’avance. Le guide a pour tâche de retrouver le chemin vers le quartier général, tout en enseignant comment y têtes sont tournées vers lui. On s’en va par où ? » D’abord, il faut s’orienter. Perdu dans l’hémisphère Nord, le plus logique pour trouver la civilisation est d’aller plein sud. Mais le ciel est gris et il faut voir le soleil pour trouver les points cardinaux sans boussole. Dès que quelqu’un trouve où est le soleil, vous me le dites », demande Alexandre. En attendant, il explique que si on ne peut pas trouver le sud, on monte sur une montagne pour avoir une vue d’ensemble. Si on croise une rivière, on la longe. Qui dit lac dit civilisation. Si vous croisez une rivière, suivez-la. » — Alexandre Coser, instructeur-guideMais on aura notre sud. Un cercle lumineux apparaît derrière le couvert de nuages. Alexandre ramasse une brindille et pointe sa montre vers le soleil. On met l’aiguille des heures vis-à-vis le soleil. On prend une brindille et on la place entre le 12 et l’heure qu’il est. La brindille pointe le sud, tout simplement. »Le guide examine une carte topographique du secteur. Il estime que pour regagner le quartier général, on doit se diriger vers le sud-est. C’est le cœurOn quitte la tourbière pour entrer dans la forêt, où les sentiers sont inexistants. L’air est frais et l’humidité amplifie les odeurs de la végétation abondante. Le sol est spongieux, imbibé de la pluie des dernières heures. Alexandre s’arrête et nous fait observer ce sur quoi nous avons les pieds. Un tapis feutré d’un vert lumineux, qui ressemble à une immense plantation de palmiers de la mousse de sphaigne. Alexandre en ramasse une motte et la tord. Une eau limpide s’en écoule. Si vous faites sécher la sphaigne, dit-il, elle peut vous aider à démarrer un feu. Sinon, quand elle est encore humide, vous pouvez vous en servir pour faire cuire du poisson. Je vous montrerai comment. »Alexandre a beau être français, il connaît notre faune et notre flore mieux que bon nombre de Québécois. Il pointe un champignon toxique cousin de l’amanite tue-mouche par-ci, de la clintonie boréale aussi appelée bleuet de l’ours par-là – il paraît que si l’on frotte les feuilles sur sa peau, ça éloigne les moustiques. Mathias Pirame – autoproclamé clown du groupe – traîne la patte. Bâton de randonnée ramassé en chemin d’une main, caméra GoPro de l’autre, il filme ses découvertes et ramasse tout ce qu’il trouve en prévision de son feu pour la soirée. Il applique le conseil qu’a donné le propriétaire de Kanatha-Aki avant notre départ La nature, je vous conseille de la voir avec votre cœur, a dit Stéphane Denis. Vous allez voir qu’elle est généreuse. Nous, on appelle ça la survie, mais les Premières Nations appelaient ça la vie, tout simplement. »Garder le capVoilà quelques heures que l’on marche en plein bois. Dans un secteur dense, les branches nous éraflent les bras et il est parfois difficile d’aller en ligne droite tellement les arbres sont rapprochés. À la croisée d’un ruisseau, on se ravitaille. 3Nombre de jours pendant lesquels l’humain peut survivre sans marche reprend et, à un moment, tout le monde s’arrête net. Un bruit lointain nous rappelle la possible présence d’un ours ou d’un autre animal sauvage que l’on ne désire pas trop déranger. Le grognement finit par s’évanouir dans la forêt. Éric Lessard, participant originaire de Baie-Comeau, aime prendre les devants. Plusieurs fois, Alexandre rappelle aux leaders de s’arrêter, question de vérifier le sud et de s’assurer que l’on suit la bonne trajectoire. On va trop à l’est », nous glisse-t-il en retrait. Mais il les laisse aller. Pour garder le cap sur notre destination, nous avons décidé de ne pas suivre les quelques sentiers croisés en chemin ce que nous aurions fait en situation réelle de survie. Au bout d’un moment, Alexandre fait remarquer au groupe qu’on a dévié de la trajectoire ; que la montagne que l’on aurait dû croiser n’est visiblement pas devant nous. Pendant qu’Éric tente de grimper à un arbre pour gagner de la hauteur, Mathias offre des noix à tout le monde. C’est finalement Edouard, le photographe, qui localise ladite montagne. C’est reparti pour un dernier segment avant d’établir un campement près d’un cours d’eau. La pluie a rendu le terrain glissant et certaines sections du parcours sont si abruptes qu’il faut s’entraider pour les franchir. Il règne une belle collégialité dans le groupe composé uniquement d’hommes à l’exception de l’auteure de ces lignes. En chemin, on ramasse de l’écorce de bouleau et des petits bouts de bois bien sec qui nous aideront à allumer les BivouacL’après-midi tire à sa fin. Nous sommes parvenus sans trop de difficulté à gagner le périmètre de la zone 1, où Alexandre prévoit toujours passer la nuit avec ses groupes, question d’être à moins d’une heure du quartier général en cas d’urgence. Les dernières semaines ont été chaudes et le lac qui figure sur la carte est complètement asséché. Tant pis, le petit ruisseau qui coule toujours suffira à nous fournir de l’eau pour le souper et la nuit. On s’ le monde se divise les tâches. Trouver des bouts de bois en forme de Y » pour y appuyer une branche transversale et faire la base des abris ; rassembler de longs troncs d’arbres morts pour la structure ; réunir un nombre important de branches de sapin pour se faire un lit de fortune ; rapprocher des roches pour délimiter les deux feux – l’un pour se réchauffer, l’autre pour cuisiner – comme ça, si tu renverses ton eau dans le feu, il t’en reste un », évoque Alexandre –, et finalement trouver suffisamment de bois sec pour que les feux brûlent toute la soleil descend, la température aussi. Les moustiques nous assaillent. Il faut rapidement allumer les feux, pour manger, pour éloigner les insectes voraces, mais aussi pour faire sécher les vêtements et les souliers. Alexandre entreprend de faire sécher ses chaussettes détrempées… mais l’odeur de laine mouillée devient soudainement celle de laine brûlée ! J’avais trois paires dans mon sac, mais il m’a dit d’en apporter juste une. Tant pis pour lui ! » lance Vincent, provoquant les rires de sève, produit aux 1000 vertus – Sert d’allume-feu– Coupe la faim quand elle est mise sur la langue– Bon décongestionnant– Peut remplacer un plombage– Facilite la cicatrisation d’une plaie– Mélangée à de la cendre, se transforme en colle pour réparer une semelle ou un canotLe stage de survie nous fait réaliser qu’il est bien utile de traîner une gamelle de métal – en plus d’un couteau, d’une pierre à feu, d’un sifflet et d’une petite toile pour se traficoter un abri. On peut y faire bouillir de l’eau pour la rendre comestible et, dans le cas présent, réchauffer notre seul repas un chili lyophilisé qui était particulièrement réconfortant ! Mouslem, lui, avait mis une boîte de thon dans son sac. J’ai toujours une canne de thon, ils nous montrent ça dans l’armée. C’est nourrissant, plein de protéines », dit l’ex-soldat, avant de donner le contenant à Alex pour le partager. Mais le petit contenant métallique se renverse. Allez, les gars, ramassez ça si vous ne voulez pas de visite, conseille Alexandre. En plus, ça se mange encore, ce n’est que du sapin. – Est-ce qu’il y a des ours ? s’enquiert, un brin inquiet, Vincent, assis sur une bûche non loin. – Eh bien, les grognements de tantôt, je n’ai aucune idée de ce que c’était, rappelle le guide. »Allez, les gars. Ramassez votre la belle étoileLa nuit installée, les troupes réchauffées, le feu alimenté, c’est le temps d’aller dormir dans nos abris de fortune. Pour l’exercice, tout le monde a un sac de couchage. Et la nuit est douce. Comme des sardines, on se couche près les uns des autres, à proximité du feu. Le matelas de branches de sapin est étonnamment confortable en plus de couper l’humidité du sol. La nuit sous les milliers d’étoiles est courte pour certains, froide pour d’autres, récupératrice pour les mieux équipés. À l’aube, l’humidité s’installe, traverse les tissus, la peau, et presque les os. Au chant des oiseaux se mêlent les ronflements d’un des gars bien endormis, contrairement à Éric, qui n’a fait que des siestes d’une heure par-ci par-là à cause du froid. Avec Vincent, il a alimenté le feu. Grâce à moi, vous êtes encore vivants ! », lance à la blague Vincent, quand tout le monde est enfin le videLes plus prévoyants s’étaient gardé quelques vivres pour déjeuner. Une bonne idée pour ne pas affronter la prochaine épreuve l’estomac vide. Nous allons apprendre à construire une échelle pour descendre une paroi escarpée, puis descendre ladite paroi en désescalade à l’aide d’une seule corde. Un exercice utile en cas de survie, si le seul chemin possible est flanqué d’une falaise. Après avoir constaté l’importance de la qualité et d’une lame pleine dans le choix d’un couteau de survie trois des sept ont rendu l’âme en coupant le bois pour l’échelle, et une formation technique sur les nœuds essentiels à maîtriser, c’est le temps de se jeter dans le vide. Ou presque. Tout le monde joue au brave, mais la majorité a l’estomac qui serre. Ils ont tous essayé. Alex, il ne l’a pas dit, mais j’ai senti qu’il avait peur du vide. En commençant, les deux genoux lui ont flanché. Mais il est descendu jusqu’en bas et il l’a refait avec le harnais pour s’amuser. Pour moi, c’est fort, ce qu’il a fait ! C’est mon petit accomplissement du week-end », nous confiera Alexandre au à mains nuesAprès l’épreuve, les ventres commencent à gargouiller. Ainsi, on se réjouit quand on apprend qu’on s’arrêtera pour pêcher de la truite. Pour la cuisson, on ramasse le plus de sphaigne possible à la croisée d’une fois à la rivière, un bassin où des roches ont été préalablement placées pour empêcher les poissons d’aller plus loin contient six truites qui ignorent que leurs minutes sont comptées. Amusé, Alexandre dit simplement Allez-y ! » Pour capturer une truite à mains nues, il suffit d’être patient et de la laisser venir chercher l’ombre sous nos mains avant de les refermer sur elle. Le plus grand défi, c’est qu’elle ne glisse pas comme un savon quand on la sort de l’eau. La pêche est bonne. Couteaux en main, on vide les poissons sur place pour éviter de traîner les odeurs et on repart avec notre stage tire à sa fin. On regagne le chemin aménagé qui mène au bâtiment principal, à quelque 9 km de l’endroit où l’hélicoptère nous a largués. Dernier arrêt un rond de feu et une table à pique-nique où savourer nos prises. Affamés, on les regarde fumer dans la sphaigne. Même les plus bavards sont quasi silencieux, drainés par une fin de semaine éprouvante. L’un des gars questionne Alexandre sur son passé. Onze ans dans l’armée, cinq mois en pleine brousse, la guerre en Côte-d’Ivoire… N’empêche, sa passion, ce n’est pas les avions, la peinture ou le ski de fond. C’est la survie. Voilà 10 ans qu’il l’enseigne. Si j’aime ça, c’est parce que je me dis que je peux transmettre aux gens mes connaissances. Et j’aime pouvoir me dire que si un jour ils sont mal pris, ils sauront quoi faire, et ils vont survivre. » Iladorait dormir à la belle étoile, l’échine épousant la branche épaisse d’un arbre séculaire, tandis que la faune sauvage grouillait tout autour de lui. Mais il s’inquiétait davantage pour l’état de son fidèle compagnon, et implacable monture, l’accompagnant aux quatre coins de « Hametsu no Tairiku » depuis tant de lunes déjà. Ensemble, ils avaient résisté aux pires A voir Mobilier de jardinSalons de jardinPergolas et tonnelles de l'ombre pour la terrasseNos idées pique-niqueDéco extérieure le meilleur pour aménager jardin, terrasse et balconAbri, cabane et chalet une pièce en plus pour le jardin / / / Camping version déco Par Isabelle Creiser, publié le 07/07/2013 à 0800 Deux décorateurs, Annick Lestrohan et Stéphane Poux, ont dressé un joli campement d'été dans un garage en tôle d'aluminium fourni par Leroy Merlin. À l'arrivée, deux cabanes parfaites pour camper... agrandir 1 - Un garage reconverti en cabane - Chez Stéphane Poux, on est dehors comme à la maison. Devant le garage "Mackai" Leroy Merlin, sur le tapis tressé Ikea, tabourets "Dharma" en teck massif et bridge "Synthesis" Unopiù, fauteuil Honoré. À l'intérieur et à l'extérieur, bouts de canapé à piétement acier clouté et plateau en bois "Arcachon", lanterne "Galilée", lanternes à anse "Bosphore Naturelle", lit "Hampton", billot "Pagnol" et chaise "Multipl's" en métal l'ensemble Maisons du Monde. Draps, couvre-lit et taies d'oreiller en lin et coton gansé Caravane, coussin graphique "Lappljung Ruta" et cierges blancs Ikea. 4 x 4 Jimny JX, 1,3 litres Suzuki. Yves Duronsoy agrandir 2 - Un espace nuit coloré - Dans l'espace nuit, lit "Hampton", tabourets "Dharma" en teck massif Unopiù, bout de canapé "Arcachon" avec piétement en acier clouté et plateau en bois, lanternes à anse "Bosphore" l'ensemble Maisons du Monde. Draps, couvre-lit et taies d'oreiller en lin et coton gansé Caravane, coussin graphique "Lappljung Ruta" et cierges blancs les deux Ikea. Yves Duronsoy agrandir 3 - Une salle à manger-douche colorée - Dans la salle à manger-douche, sur la table "Provence" Maisons du Monde, assiettes et calotte en céramique noire "Dinera", couverts "Mogen" dans l'égouttoir "Fintorp", maxi-boîte hermétique rouge "Ljust", carafe et gobelet en verre teinté "Leende" l'ensemble Ikea. Chaise "Multipl's", fauteuil "Bistrot", douche d'extérieur "Niagara", comptoir "Calanque" à tiroirs, lanterne "Bosphore", malle en métal l'ensemble Maisons du Monde. Tabouret "Antares" en lames de teck Unopiù. Tapis indien "Kattrup", serviette de bain "Fräjen", thermos "Volym" et "Sluka" Ikea. Yves Duronsoy agrandir 4 - Un garage revisité - Chez Stéphane Poux, on est dehors comme à la maison. Devant le garage "Mackai" Leroy Merlin, sur le tapis tressé Ikea, tabourets "Dharma" en teck massif et bridge "Synthesis" Unopiù, fauteuil Honoré. À l'intérieur et à l'extérieur, bouts de canapé à piétement acier clouté et plateau en bois "Arcachon", lanterne "Galilée", lanternes à anse "Bosphore Naturelle", lit "Hampton", billot "Pagnol" et chaise "Multipl's" en métal l'ensemble Maisons du Monde. Draps, couvre-lit et taies d'oreiller en lin et coton gansé Caravane, coussin graphique "Lappljung Ruta" et cierges blancs Ikea. 4 x 4 Jimny JX, 1,3 litres Suzuki. Yves Duronsoy agrandir 5 - Douche d'extérieur en pleine nature - Dans la salle à manger-douche, tabouret "Antares" en lames de teck et tabouret "Dharma" en teck massif les deux Unopiù. Chaise "Multipl's", douche d'extérieur "Niagara", comptoir "Calanque" et lanterne "Bosphore" l'ensemble Maisons du Monde. Serviettes de bain "Fräjen" Ikea. Yves Duronsoy agrandir 6 - L'architecte Séphane Poux - Photo de l'architecte d'intérieur, Stéphane Poux. Yves Duronsoy agrandir 7 - Une cabane design et tendance - Garage "Mackai" Leroy Merlin customisé avec les peintures Vert Officier ligne "Toll-O-Star" et Lait de Chaux ligne "Flat Hydro" les deux Tollens. Fauteuils "Natura" et lanternes "Portland" suspendus, bains de soleil "Saint-Raphaël" le tout Maisons du Monde. Devant le garage, carcasse d'un vieux fauteuil bombée cuivre par Annick, au sol, paillassons "Trampa" Ikea.Stéphane Poux L'idée de transformer un garage en cabane d'été amuse l'architecte d'intérieur, connu pour ses projets de maisons de famille confortables et chaleureuses. Il choisit un lit à haut dossier pour diviser l'espace de 18 m2 en deux zones - repos et repas-douche -, des kilims "pour le vintage", une table-guéridon d'aspect cossu, des chaises dépareillées et un buffet à la peinture décatie. Des meubles qui semblent récupérés ou chinés. Une fois le lit posé face à la nature, afin de dormir "à la belle étoile", Stéphane enlève deux panneaux de la toiture pour laisser entrer le soleil, installe des canisses qui filtrent la lumière et place la douche à l'abri des regards. Dehors, un billot permet de préparer les produits du marché. Un véritable campement de luxe ! Stéphane poux Yves Duronsoy agrandir 8 - Le coin terrasse - Table et banc "Saint-Malo" Maisons du Monde, bols et pichet en terre cuite, bouteille en verre et osier Honoré. Derrière, à l'espace salle d'eau, paravents "Natura" Maisons du Monde, portant à serviettes "Grundtal" Ikea, serviette hammam Honoré. Yves Duronsoy agrandir 9 - L'espace salle de bains - Pour le coin salle de bains, paravents "Natura" Maisons du Monde, portant à serviettes "Grundtal" en acier Ikea, serviette hammam et tabouret en bois et paille Honoré. Yves Duronsoy agrandir 10 - La styliste Annick Lestrohan - Annick est assise sur un ballot de paille recouvert d'un plaid en laine et de coussins. Table d'appoint à plateau en laiton, bol et pichet en terre cuite l'ensemble Honoré. Yves Duronsoy agrandir 11 - Un espace de tout repos - Côté farniente, au premier plan, bain de soleil "Saint-Raphaël" et fauteuil suspendu "Natura" Maisons du Monde, tables d'appoint plateaux laiton, bols et pichet en terre cuite et plaid en laine l'ensemble Honoré.Annick Lestrohan D'emblée, la talentueuse styliste, qui signe avec sa fille Ingrid la ligne de décoration Honoré, souhaite "planter le garage dans un champ de pommiers", pour y créer un "lounge" seventies et campagnard. Une fois la tôle peinte en kaki et blanc, les meubles déballés, la douche de campagne organisée et le réchaud installé, Annick part en quête de bottes de foin ! Elle en tapisse le sol intérieur et garde la dernière pour former une banquette de fortune qu'elle habille d'un plaid vert anis, coloris qui ponctue une palette de tons naturels. Mission accomplie pour la styliste, qui a su transformer l'austère garage en une bergerie décalée, pleine de poésie. Annick Lestrohan Tél. 04 91 33 08 34 et Yves Duronsoy agrandir 12 - Une cuisine en plein air - Côté cuisine, sur les dessertes "Udden", pile de sous-plats en liège, pots de conservation avec couvercle l'ensemble Ikea, planche à découper et vaisselle en terre cuite Honoré. Yves Duronsoy Ailleurs sur le web Contenu proposé par Taboola Sur le même thème Les + d'hiver nos inspirations pour aménager la sa piscine le point sur la réglementation en plantes et fleurs qui n'ont pas peur de l'hiver510partages Newsletter CôtéMaisonRecevez quotidiennement le meilleur de l'actu déco de Côté Maison Services Commentez cet article Retour vers le haut de page
Lameneuse aubiste arpentait les différents campements pour s'assurer que tout se déroulait sans accrocs. Rayon de Miel et Cristal Pourpre avaient pris les places d'Étoile Polaire et Étoile du Matin, la féline crépusculienne se montrant plus stricte et regardante que ne l'avait été sa prédécesseur.
Quitte à voyager en Égypte, pourquoi ne pas en profiter pour faire un petit détour par le désert ? D’autant plus que le vaste désert égyptien a d’excellents attraits naturels, variés et surprenants, qui sauront marquer votre séjour. . Il n’y a pas que des pyramides et des temples en Égypte ! Les touristes ont surtout tendance à ne visiter ce pays que pour ces monuments historiques ou ses stations balnéaires de la Mer Rouge. C’est tellement dommage, il y a tant d’autres merveilles à découvrir dans ce pays et le désert en fait partie. Ça a été pour moi la plus belle découverte de ce voyage en Égypte. Moi qui ai grandi entre les montagnes enneigées et les collines verdoyantes, entre les forêts de sapins et les prés fleuris, rencontrer le désert avait quelque chose de fascinant et d’incroyable. Une impression d’immensité, de territoire sans fin et de totale impuissance face à l’infini. C’était la première fois que j’allais dans un désert, me voilà conquis et en totale admiration. . . . Après quelques recherches, j’ai trouvé un guide qui propose des circuits suivant vos envies. En Égypte, le désert est vaste et varié, tout n’est pas que sable et dunes à l’infini. J’ai choisi de rester 4 jours et je pense que c’est un minimum pour découvrir ce que le désert a à offrir. J’ai dit au guide ce que je voulais voir dunes de sable, désert noir et désert blanc et il a organisé le circuit, lui qui connaît le désert comme sa poche et les routes qui le sillonnent par cœur. Vu que les touristes fuyaient l’Égypte à cette période, j’étais son seul client. J’ai donc eu la chance d’avoir deux guides pour moi tout seul et une excursion privée ! Le pied ! Étant donné qu’il vivait à l’oasis de Bawiti, au milieu du désert, il a envoyé deux personnes me prendre à mon hôtel du Caire. Il fallait bien 3 heures de route dont une bonne heure pour sortir du trafic chaotique de la capitale égyptienne pour rejoindre l’oasis. Une fois sur place, après un bon repas, c’est parti pour le désert ! . LE DÉSERT NOIR Un nom intrigant pour un lieu tout autant pittoresque. . . Érosion et roche volcanique, voilà ce qui a produit cette couleur. En effet, il y a de cela des millions d’années, les volcans qui se trouvaient ici sont entrés en éruption. Au fil des siècles, la lave s’est transformée en roche noir qui avec le vent s’est dispersé et a été peu à peu recouverte de sable. Un endroit magique à découvrir absolument ! Le 4×4 roule à vive allure sur la route du désert qu’il quitte brusquement pour s’élancer sur le sable. Ça y est, l’aventure et l’exploration du désert a bel et bien commencé ! Le guide conduit avec agilité, il semble connaître ces sentiers, ces dunes, ces roches à la perfection. Le paysage est emprunt de désolation. Ce qui me choque le plus, c’est le silence qui règne. Ici, aucun bruit, aucun son mis à part le vent. C’est, je pense, la première fois que “j’entends” un tel silence, une telle absence de son. C’est fascinant ! . . . Je comprends les personnes qui parlent du désert comme d’un endroit qui force à l’introspection, au questionnement voire à la spiritualité. Ici, tout semble surnaturel. Dans nos vies quotidiennes, on est tellement habitués au bruit, à la foule, à l’agitation et à la proximité que se trouver au milieu de nulle part, au milieu de dunes et de roches, au milieu de ce qui s’apparente au néant, procure un effet paradoxal. On se sent si petit et pourtant on se sent une présence, on se sent vivre. C’est aussi un endroit qui force à prendre son temps. Dans le désert, la précipitation n’existe pas. Ne peut pas exister. On oublie tout, on laisse tout aux portes du désert et on vient ici pour profiter, pour vivre. . . . Dans le désert, les paysages semblent immuables et sont pourtant variés ! Quand on quitte le désert noir, on arrive au désert de sable avec ses dunes qui s’élancent jusqu’à l’horizon. Pour voir de grandes dunes, appelées aussi La grande mer de sable, il faut descendre tout au sud du pays, à la frontière avec la Libye. Nous n’avions pas le temps car la route est longue mais c’est à voir ! En journée, quand le soleil est au zénith, le sable est tellement chaud qu’il s’affaisse sous le poids de la voiture et il n’est désormais plus possible de grimper les dunes, la voiture s’embourbe dans le sable. Chaque jour, nous stoppons notre route et, à l’abri d’une haute dune ou d’une roche, nous attendons à l’ombre que les chemins soient de nouveau praticables. Nous en profitons alors pour parler un peu, boire du thé ou piquer un petit somme. En fait, eux en profitent pour dormir, moi je suis trop excité par ce désert pour rester là à faire la sieste. Je m’avance dans le sable et je marche pour découvrir les alentours de ce campement de fortune. Le sable me brûle les pieds, le soleil tape. . Petite oasis dans le désert. . . . J’ai eu un petit problème d’appareil photo en plein milieu de mon séjour. Un grain de sable, un malheureux grain de sable, a trouvé bon de s’incruster dans mon appareil. Autant dire que ledit appareil n’a plus daigné se rallumer. C’est un des quelques inconvéniants. Oui, le désert avec son condensé de sable et de chaleur peut vite représenter un danger pour votre appareil photo. Alors pas de panique, je vous ai préparé un petit article pour bien prendre soin de votre outil ! . . . LE DÉSERT BLANC Un paysage absolument surprenant, comme sorti d’un autre monde ! . . Le désert blanc est probablement l’endroit le plus surprenant et le plus fascinant du désert égyptien. Au fur et à mesure que nous avancions, le sable laissait la place à une étendue blanche, on penserait presque qu’il s’agit de neige ou de sel. Par endroit, tout est blanc, il n’y a plus de sable. L’érosion d’une roche calcaire a rendu ce territoire totalement blanc et peuplé de formes étonnantes un lapin, une poule… C’est vraiment une excursion à faire quand on visite l’Égypte. Le Désert Blanc, ce n’est pas un simple désert, il y a un quelque chose de particulier. Passer au milieu des ces formes, de ces roches sculptées par le temps et le vent, vous donne vraiment l’impression d’être ailleurs, hors de cette terre et d’explorer un nouveau monde. À ne pas manquer ! . . . PASSER LA NUIT DANS LE DÉSERT Une expérience fascinante à faire au moins une fois ! C’est l’assurance de passer une nuit mémorable. . . . J’ai dormi dans le désert ! Ces mots résonnent en moi et j’ose à peine y croire. Pour moi, c’était une première. J’ai déjà fait du camping, préparé ou à l’arrache au milieu d’un champs ou en forêt, j’ai déjà dormi à la belle étoile à la campagne et sur une plage, mais dormir dans le désert, ça, jamais. J’ai complètement adoré ces quatre nuits au milieu des dunes ! Nous plantions la tente, l’accrochions bien fort à la voiture et étendions des tapis sur le sol. Le premier soir, j’ai dormi dans cette tente à ciel ouvert puis j’ai demandé à dormir sur le toit de la voiture pour les nuits restantes. Je n’avais jamais vu un ciel aussi étoilé ! C’était comme dans un film, je peinais à croire que c’était réel. La vue était magnifique et chaque soir je me disais que ça serait dommage de dormir et de ne pas profiter de cette vue. Mon plus grand étonnement a été de voir qu’il y avait autant de vent. Dans le désert, quand la nuit tombe et jusqu’au lever du soleil, le vent souffle, parfois très fort. J’entendais le sable fouetter la voiture, je sentais la voiture tanguer sous l’effet des fortes bourrasques. Le lendemain, le côté de la voiture était presque recouvert de sable. . . . La première nuit, je l’ai passée à même le sol, au milieu des deux guides. Au petit matin, une gerboise s’est mise en tête de venir faire un petit tour sur mon matelas. Moi qui hais et déteste tout ce qui ressemble de près ou de loin à une souris ou un rat, j’ai détesté l’expérience. L’air de rien, j’ai demandé au guide si je pouvais dormir sur le toit de la voiture ce qui, en plus, me permettait d’avoir une bien meilleure vue sur le ciel étoilé. Les trois nuits suivantes, je n’ai donc plus rencontré de gerboise “malinx, le lynx” ^^. Lors de la dernière soirée, au milieu du désert blanc, des fennecs rôdaient non loin du camp. Quand je voyais leurs petits yeux briller dans l’obscurité, je me sentais vraiment rassuré à l’idée de dormir sur la voiture… . . . PARTIR DANS LE DÉSERT EN ÉGYPTE Attention, il est formellement déconseillé de s’aventurer dans le désert seul, sans guide assermenté. D’une part, car il est facile de s’y perdre et de ne jamais en revenir, d’autre part car la situation sécuritaire de l’Égypte et la proximité avec la Libye rendent les déplacements plus surveillés. D’ailleurs, les contrôles de police sont nombreux sur les routes menant au désert et vous ne passerez pas le check-point si vous n’êtes pas accompagné d’un guide. Plusieurs agences de voyage locales ou des guides proposent des séjours dans le désert. Généralement, ils viennent vous chercher à votre hôtel au Caire ou Louxor, et vous proposent, suivant votre programme, des séjours de 1 à 8 jours sur place. Moi j’ai choisi de voyager avec Mohammed, un guide très sympathique, bien préparé et qui connaît vraiment bien le désert. . . . . Si vous aimez le désert, pourquoi ne pas découvrir le Wadi Rum en Jordanie, ou le désert du Négev en Israël ? . Plusde 10 000 personnes, dont de nombreux touristes, ont été déplacées par l'avancée des flammes dans la nuit de mardi à mercredi dans cette commune à l’extrême sud du massif des Maures. à une distance de 1,6 km - Marina romea Hotel La Meridiana L'hôtel est entouré d'espaces verts et d'excellent espaces naturels, il est égalementt très proche environ 300 mètres de l'une d à une distance de 2,5 km - Marina romea Hotel Corallo L'Hôtel Corallo Marina Romea se trouve dans la zone du Parc du Delta du Pô, dans la pinède verdoyante de Ravenne, près de la pla à une distance de 2,7 km - Marina romea Hotel Columbia C'est un hôtel qui a été entièrement rénové et disposant de l'air conditionné. Il bénéficie d'une position centrale sur la promena à une distance de 1,8 km - Marina romea Residence Il Parco Dei Pini à une distance de 1,9 km - Marina romea Holiday home Ippocastani Marina Romea à une distance de 2,6 km - Marina romea Hôtel La Tavernetta à une distance de 2,8 km - Marina romea Hotel Solaria à une distance de 3,2 km - Marina romea Marina Romea Apartment à une distance de 7,3 km - Marina Di Ravenna Hotel Riviera à une distance de 7,3 km - Marina Di Ravenna Hotel Bermuda à une distance de 8,7 km - Marina Di Ravenna Terme Beach Resort à une distance de 10,6 km - Marina Di Ravenna Hotel Dafne Campings à Ravenna Campement Reno à une distance de 2,7 km - Acquaviva Hôtel Columbia L'Hôtel Columbia est situé sur la promenade maritime de Marina Romea, à 12 km du parc national du Delta du Pô. Les chambres dispos à une distance de 2,6 km - Marina romea La Tavernetta Hotel La Tavernetta Marina Romea propose des possibilités d'excursions et des promenades en bateau, et l'opportunité de plonger dans l à une distance de 4,3 km - Ravenna Hôtel Il Sole Hôtel Il Sole, est hôtel 3 étoiles situé en Emilie-Romagne en Italie. Il dispose de 36 appartements meublés et se trouve à 700 mèt à une distance de 4,4 km - Acquaviva Hôtel II Sole Cet endroit est idéal pour ceux qui veulent faire une pause loin de la routine et se détendre dans une ambiance chaleureuse et agr à une distance de 2,5 km - Acquaviva Collecroce Hotel Corallo L’hôtel Corallo est un établissement 3 étoile qui vous propose des chambres dotées de tout le confort moderne. Entièrement rénové à une distance de 1,8 km - Ravenna Hôtel Bella Romagna à une distance de 8,8 km - Ravenna Bord de mer à Ravenna
Onpeut alors suivre la route des satellites, voir basculer les constellations d’un bout à l’autre de la nuit, s’abandonner au spectacle des étoiles filantes. Lorsqu’elle est pleine et ronde, elle éclaire comme un phare le paysage endormi et les animaux curieux qui trottinent autour des duvets. Pour échapper à ses rayons et au hurlement des chacals, le dormeur ne peut que s
Vous aimez l’aventure et le grand air ? Vous avez prévu de dormir à la belle étoile en pleine nature ? Vous avez bien raison, c’est une expérience vraiment unique à vivre ! Pouvoir s’endormir en regardant les étoiles dans le ciel, c’est magique. Pour que votre nuit se passe bien, vous devez emporter avec vous l’équipement indispensable dont vous allez trouver la liste ci-dessous. Le sac de couchage Il existe différents types de sacs de couchage. Suivant la météo et la température prévues dehors, vous allez opter pour un duvet plus ou moins chaud. Le sac de couchage grand froid vous permet de supporter des températures très négatives, au-delà de -20°C. S’il fait vraiment froid, optez pour un sac momie qui montera jusqu’à la tête et vous enveloppera dans un véritable sarcophage, comme à l’époque des pharaons. Ce guide vous aidera à y voir plus clair La tente Dormir à la belle étoile signifie que l’on dort à l’air libre, sans aucun toit au-dessus de la tête. Cependant, si vous ne voulez pas être réveillé au petit matin par la lumière du jour, vous pouvez quand même décider de dormir sous une tente. Cela vous isolera bien du froid et limitera les intrusions dans votre sommeil d’éventuels animaux de passage. La tente vous offrira un peu d’intimité. C’est également bien utile s’il commence à pleuvoir pour ne pas être trempé. La lampe torche La lampe torche est indispensable pour vous éclairer en pleine nuit. Vous n’allez pas fonctionner avec une simple bougie. Prévoyez une lampe torche puissante Cela vous permettra de voir et d’être vu sur une longue distance. Pour des raisons pratiques mais aussi de sécurité, la lampe de poche est vraiment un indispensable du randonneur faisant du camping. La lampe peut vous servir à envoyer un SOS ou à éloigner un animal trop curieux. Le réchaud Après une journée de marche, vous n’aurez pas forcément le temps et la motivation de vous lancer dans la préparation d’un feu de bois. Il n’est pas toujours facile de trouver du bois sec en pleine nature. Du coup, pour réchauffer votre repas, vous devez emporter avec vous un réchaud. Il vous permettra aussi de vous réchauffer les mains et les pieds si vous avez froid. Il existe des réchauds très compacts et légers si vous n’avez pas envie de vous encombrer. Le tapis de sol Le sol est froid et humide. Le transfert thermique avec votre corps est désagréable si vous n’avez pas d’isolation. Il faut donc prévoir un tapis de sol. Cela permet de limiter la remontée du froid. C’est aussi utile pour lisser un peu le sol qui n’est jamais très régulier dans la campagne. Enfin le tapis de sol vous évitera d’avoir des petits insectes qui viennent se nicher dans votre sac de couchage.
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campement de fortune pour dormir à la belle étoile