Qui n'a pas un jour rêvé de dormir dans une cabane perchée, de se coucher aux sons de nature qui s'endort et de prendre son petit déjeuner sur une terrasse dans un arbre ? Si vous avez gardé votre âme d'enfant... jouez avec Cabanes de France et gagner un superbe Coffret Cabanes de France d'une valeur de 130€, Votre coffret contiendra un bon cadeau pour une nuit dans une cabane à deux, petits déjeuners compris, un cahier de coloriages, un livre sur la construction des cabanes et un petit carnet de notes, il vous suffit de relayer l'information !! Pour participer à ce jeu - Faire un post sur votre blog avant le 15 Juin 2009, reprenant l'image ci dessus cliquer dessus pour l'avoir en taille réelle et la marche à suivre - ajouter le site Cabanes de France en lien hypertexte dans le post - envoyer ensuite un mail à cabanesdefrance » avec votre nom, prénom, adresse mail et adresse de blog. Vous recevrez alors un mail de validation ! Pensez à bien noter dans votre billet, les consignes à suivre pour que toutes les participations soient correctement validées. Le tirage au sort aura lieu le 16 Juin !!
déclipse, depuis qu'ils campent à quelque six cents, village africain de la belle étoile en plein centre de Paris, sur le trottoir du boulevard du Temple, tout contre le mur de la Bourse du travail expulsée. Et qui, dans l'« urgence absolue », a reparu pour leur persuader quels sont leurs seuls et uniques intérêts dans leur situation 11 h. Un samedi d’août, à la base du centre d’activités nature Kanatha-Aki, à Val-des-Lacs. Tout le monde est fin prêt. Sac sur le dos, capuchon sur la tête, briefing terminé la mission commence enfin, malgré la pluie. Les patins de l’hélicoptère quittent le sol et l’engin s’envole. On ne peut pas aller se poser sur la montagne prévue. » La voix du pilote Anthony Marcy résonne dans les casques d’écoute. Il y a trop de nuages. J’ai largué le premier groupe plus loin. On fait avec la nature ! »Après quelques minutes de vol au-dessus d’un milieu forestier quasi inhabité des Laurentides, trois petits points colorés apparaissent à l’extrémité d’un vaste marais ; les premiers membres à avoir été largués avec le guide. Nous faisons partie du deuxième groupe. Trois autres participants ferment le bal dans un dernier voyage, puis la libellule s’envole et disparaît derrière l’épais couvert de nuages. Le bruit s’évanouit et le silence marque le coup de départ de 24 heures d’apprentissage de survie en première leçon s’impose d’elle-même regarder où on met les pieds en débarquant d’un hélicoptère en zone marécageuse. Trois des sept membres du groupe commencent l’aventure avec les chaussures détrempées, dont Mouslem Bouchamekh, qui a calé dans les joncs jusqu’au genou. Plus encore, l’ex-soldat algérien, là pour sortir de [sa] zone de confort », s’entête à ne pas porter de manteau imperméable. C’est le premier qu’il faudra surveiller si la pluie continue. Il y a deux semaines, on a un groupe presque entier qui n’a pas traversé la nuit à cause de l’hypothermie et qui a dû se réfugier dans un camp », nous glisse Alexandre Coser, l’instructeur-guide qui dirige le stage de survie Héli-Extrême de Kanatha-Aki. Parce qu’il s’agit bien d’une activité immersive d’initiation et non d’une émission de télévision à la Survivor ou Expédition extrême. Vous êtes là pour apprendre, pas pour vous maganer », a répété Alexandre plusieurs fois pendant la rencontre préliminaire. C’est sur lui que repose la responsabilité de ramener tout le groupe à bon port. Le trajet n’est pas convenu d’avance. Le guide a pour tâche de retrouver le chemin vers le quartier général, tout en enseignant comment y têtes sont tournées vers lui. On s’en va par où ? » D’abord, il faut s’orienter. Perdu dans l’hémisphère Nord, le plus logique pour trouver la civilisation est d’aller plein sud. Mais le ciel est gris et il faut voir le soleil pour trouver les points cardinaux sans boussole. Dès que quelqu’un trouve où est le soleil, vous me le dites », demande Alexandre. En attendant, il explique que si on ne peut pas trouver le sud, on monte sur une montagne pour avoir une vue d’ensemble. Si on croise une rivière, on la longe. Qui dit lac dit civilisation. Si vous croisez une rivière, suivez-la. » — Alexandre Coser, instructeur-guideMais on aura notre sud. Un cercle lumineux apparaît derrière le couvert de nuages. Alexandre ramasse une brindille et pointe sa montre vers le soleil. On met l’aiguille des heures vis-à-vis le soleil. On prend une brindille et on la place entre le 12 et l’heure qu’il est. La brindille pointe le sud, tout simplement. »Le guide examine une carte topographique du secteur. Il estime que pour regagner le quartier général, on doit se diriger vers le sud-est. C’est le cœurOn quitte la tourbière pour entrer dans la forêt, où les sentiers sont inexistants. L’air est frais et l’humidité amplifie les odeurs de la végétation abondante. Le sol est spongieux, imbibé de la pluie des dernières heures. Alexandre s’arrête et nous fait observer ce sur quoi nous avons les pieds. Un tapis feutré d’un vert lumineux, qui ressemble à une immense plantation de palmiers de la mousse de sphaigne. Alexandre en ramasse une motte et la tord. Une eau limpide s’en écoule. Si vous faites sécher la sphaigne, dit-il, elle peut vous aider à démarrer un feu. Sinon, quand elle est encore humide, vous pouvez vous en servir pour faire cuire du poisson. Je vous montrerai comment. »Alexandre a beau être français, il connaît notre faune et notre flore mieux que bon nombre de Québécois. Il pointe un champignon toxique cousin de l’amanite tue-mouche par-ci, de la clintonie boréale aussi appelée bleuet de l’ours par-là – il paraît que si l’on frotte les feuilles sur sa peau, ça éloigne les moustiques. Mathias Pirame – autoproclamé clown du groupe – traîne la patte. Bâton de randonnée ramassé en chemin d’une main, caméra GoPro de l’autre, il filme ses découvertes et ramasse tout ce qu’il trouve en prévision de son feu pour la soirée. Il applique le conseil qu’a donné le propriétaire de Kanatha-Aki avant notre départ La nature, je vous conseille de la voir avec votre cœur, a dit Stéphane Denis. Vous allez voir qu’elle est généreuse. Nous, on appelle ça la survie, mais les Premières Nations appelaient ça la vie, tout simplement. »Garder le capVoilà quelques heures que l’on marche en plein bois. Dans un secteur dense, les branches nous éraflent les bras et il est parfois difficile d’aller en ligne droite tellement les arbres sont rapprochés. À la croisée d’un ruisseau, on se ravitaille. 3Nombre de jours pendant lesquels l’humain peut survivre sans marche reprend et, à un moment, tout le monde s’arrête net. Un bruit lointain nous rappelle la possible présence d’un ours ou d’un autre animal sauvage que l’on ne désire pas trop déranger. Le grognement finit par s’évanouir dans la forêt. Éric Lessard, participant originaire de Baie-Comeau, aime prendre les devants. Plusieurs fois, Alexandre rappelle aux leaders de s’arrêter, question de vérifier le sud et de s’assurer que l’on suit la bonne trajectoire. On va trop à l’est », nous glisse-t-il en retrait. Mais il les laisse aller. Pour garder le cap sur notre destination, nous avons décidé de ne pas suivre les quelques sentiers croisés en chemin ce que nous aurions fait en situation réelle de survie. Au bout d’un moment, Alexandre fait remarquer au groupe qu’on a dévié de la trajectoire ; que la montagne que l’on aurait dû croiser n’est visiblement pas devant nous. Pendant qu’Éric tente de grimper à un arbre pour gagner de la hauteur, Mathias offre des noix à tout le monde. C’est finalement Edouard, le photographe, qui localise ladite montagne. C’est reparti pour un dernier segment avant d’établir un campement près d’un cours d’eau. La pluie a rendu le terrain glissant et certaines sections du parcours sont si abruptes qu’il faut s’entraider pour les franchir. Il règne une belle collégialité dans le groupe composé uniquement d’hommes à l’exception de l’auteure de ces lignes. En chemin, on ramasse de l’écorce de bouleau et des petits bouts de bois bien sec qui nous aideront à allumer les BivouacL’après-midi tire à sa fin. Nous sommes parvenus sans trop de difficulté à gagner le périmètre de la zone 1, où Alexandre prévoit toujours passer la nuit avec ses groupes, question d’être à moins d’une heure du quartier général en cas d’urgence. Les dernières semaines ont été chaudes et le lac qui figure sur la carte est complètement asséché. Tant pis, le petit ruisseau qui coule toujours suffira à nous fournir de l’eau pour le souper et la nuit. On s’ le monde se divise les tâches. Trouver des bouts de bois en forme de Y » pour y appuyer une branche transversale et faire la base des abris ; rassembler de longs troncs d’arbres morts pour la structure ; réunir un nombre important de branches de sapin pour se faire un lit de fortune ; rapprocher des roches pour délimiter les deux feux – l’un pour se réchauffer, l’autre pour cuisiner – comme ça, si tu renverses ton eau dans le feu, il t’en reste un », évoque Alexandre –, et finalement trouver suffisamment de bois sec pour que les feux brûlent toute la soleil descend, la température aussi. Les moustiques nous assaillent. Il faut rapidement allumer les feux, pour manger, pour éloigner les insectes voraces, mais aussi pour faire sécher les vêtements et les souliers. Alexandre entreprend de faire sécher ses chaussettes détrempées… mais l’odeur de laine mouillée devient soudainement celle de laine brûlée ! J’avais trois paires dans mon sac, mais il m’a dit d’en apporter juste une. Tant pis pour lui ! » lance Vincent, provoquant les rires de sève, produit aux 1000 vertus – Sert d’allume-feu– Coupe la faim quand elle est mise sur la langue– Bon décongestionnant– Peut remplacer un plombage– Facilite la cicatrisation d’une plaie– Mélangée à de la cendre, se transforme en colle pour réparer une semelle ou un canotLe stage de survie nous fait réaliser qu’il est bien utile de traîner une gamelle de métal – en plus d’un couteau, d’une pierre à feu, d’un sifflet et d’une petite toile pour se traficoter un abri. On peut y faire bouillir de l’eau pour la rendre comestible et, dans le cas présent, réchauffer notre seul repas un chili lyophilisé qui était particulièrement réconfortant ! Mouslem, lui, avait mis une boîte de thon dans son sac. J’ai toujours une canne de thon, ils nous montrent ça dans l’armée. C’est nourrissant, plein de protéines », dit l’ex-soldat, avant de donner le contenant à Alex pour le partager. Mais le petit contenant métallique se renverse. Allez, les gars, ramassez ça si vous ne voulez pas de visite, conseille Alexandre. En plus, ça se mange encore, ce n’est que du sapin. – Est-ce qu’il y a des ours ? s’enquiert, un brin inquiet, Vincent, assis sur une bûche non loin. – Eh bien, les grognements de tantôt, je n’ai aucune idée de ce que c’était, rappelle le guide. »Allez, les gars. Ramassez votre la belle étoileLa nuit installée, les troupes réchauffées, le feu alimenté, c’est le temps d’aller dormir dans nos abris de fortune. Pour l’exercice, tout le monde a un sac de couchage. Et la nuit est douce. Comme des sardines, on se couche près les uns des autres, à proximité du feu. Le matelas de branches de sapin est étonnamment confortable en plus de couper l’humidité du sol. La nuit sous les milliers d’étoiles est courte pour certains, froide pour d’autres, récupératrice pour les mieux équipés. À l’aube, l’humidité s’installe, traverse les tissus, la peau, et presque les os. Au chant des oiseaux se mêlent les ronflements d’un des gars bien endormis, contrairement à Éric, qui n’a fait que des siestes d’une heure par-ci par-là à cause du froid. Avec Vincent, il a alimenté le feu. Grâce à moi, vous êtes encore vivants ! », lance à la blague Vincent, quand tout le monde est enfin le videLes plus prévoyants s’étaient gardé quelques vivres pour déjeuner. Une bonne idée pour ne pas affronter la prochaine épreuve l’estomac vide. Nous allons apprendre à construire une échelle pour descendre une paroi escarpée, puis descendre ladite paroi en désescalade à l’aide d’une seule corde. Un exercice utile en cas de survie, si le seul chemin possible est flanqué d’une falaise. Après avoir constaté l’importance de la qualité et d’une lame pleine dans le choix d’un couteau de survie trois des sept ont rendu l’âme en coupant le bois pour l’échelle, et une formation technique sur les nœuds essentiels à maîtriser, c’est le temps de se jeter dans le vide. Ou presque. Tout le monde joue au brave, mais la majorité a l’estomac qui serre. Ils ont tous essayé. Alex, il ne l’a pas dit, mais j’ai senti qu’il avait peur du vide. En commençant, les deux genoux lui ont flanché. Mais il est descendu jusqu’en bas et il l’a refait avec le harnais pour s’amuser. Pour moi, c’est fort, ce qu’il a fait ! C’est mon petit accomplissement du week-end », nous confiera Alexandre au à mains nuesAprès l’épreuve, les ventres commencent à gargouiller. Ainsi, on se réjouit quand on apprend qu’on s’arrêtera pour pêcher de la truite. Pour la cuisson, on ramasse le plus de sphaigne possible à la croisée d’une fois à la rivière, un bassin où des roches ont été préalablement placées pour empêcher les poissons d’aller plus loin contient six truites qui ignorent que leurs minutes sont comptées. Amusé, Alexandre dit simplement Allez-y ! » Pour capturer une truite à mains nues, il suffit d’être patient et de la laisser venir chercher l’ombre sous nos mains avant de les refermer sur elle. Le plus grand défi, c’est qu’elle ne glisse pas comme un savon quand on la sort de l’eau. La pêche est bonne. Couteaux en main, on vide les poissons sur place pour éviter de traîner les odeurs et on repart avec notre stage tire à sa fin. On regagne le chemin aménagé qui mène au bâtiment principal, à quelque 9 km de l’endroit où l’hélicoptère nous a largués. Dernier arrêt un rond de feu et une table à pique-nique où savourer nos prises. Affamés, on les regarde fumer dans la sphaigne. Même les plus bavards sont quasi silencieux, drainés par une fin de semaine éprouvante. L’un des gars questionne Alexandre sur son passé. Onze ans dans l’armée, cinq mois en pleine brousse, la guerre en Côte-d’Ivoire… N’empêche, sa passion, ce n’est pas les avions, la peinture ou le ski de fond. C’est la survie. Voilà 10 ans qu’il l’enseigne. Si j’aime ça, c’est parce que je me dis que je peux transmettre aux gens mes connaissances. Et j’aime pouvoir me dire que si un jour ils sont mal pris, ils sauront quoi faire, et ils vont survivre. » Iladorait dormir à la belle étoile, l’échine épousant la branche épaisse d’un arbre séculaire, tandis que la faune sauvage grouillait tout autour de lui. Mais il s’inquiétait davantage pour l’état de son fidèle compagnon, et implacable monture, l’accompagnant aux quatre coins de « Hametsu no Tairiku » depuis tant de lunes déjà. Ensemble, ils avaient résisté aux pires A voir Mobilier de jardinSalons de jardinPergolas et tonnelles de l'ombre pour la terrasseNos idées pique-niqueDéco extérieure le meilleur pour aménager jardin, terrasse et balconAbri, cabane et chalet une pièce en plus pour le jardin / / / Camping version déco Par Isabelle Creiser, publié le 07/07/2013 à 0800 Deux décorateurs, Annick Lestrohan et Stéphane Poux, ont dressé un joli campement d'été dans un garage en tôle d'aluminium fourni par Leroy Merlin. À l'arrivée, deux cabanes parfaites pour camper... agrandir 1 - Un garage reconverti en cabane - Chez Stéphane Poux, on est dehors comme à la maison. Devant le garage "Mackai" Leroy Merlin, sur le tapis tressé Ikea, tabourets "Dharma" en teck massif et bridge "Synthesis" Unopiù, fauteuil Honoré. À l'intérieur et à l'extérieur, bouts de canapé à piétement acier clouté et plateau en bois "Arcachon", lanterne "Galilée", lanternes à anse "Bosphore Naturelle", lit "Hampton", billot "Pagnol" et chaise "Multipl's" en métal l'ensemble Maisons du Monde. Draps, couvre-lit et taies d'oreiller en lin et coton gansé Caravane, coussin graphique "Lappljung Ruta" et cierges blancs Ikea. 4 x 4 Jimny JX, 1,3 litres Suzuki. Yves Duronsoy agrandir 2 - Un espace nuit coloré - Dans l'espace nuit, lit "Hampton", tabourets "Dharma" en teck massif Unopiù, bout de canapé "Arcachon" avec piétement en acier clouté et plateau en bois, lanternes à anse "Bosphore" l'ensemble Maisons du Monde. Draps, couvre-lit et taies d'oreiller en lin et coton gansé Caravane, coussin graphique "Lappljung Ruta" et cierges blancs les deux Ikea. Yves Duronsoy agrandir 3 - Une salle à manger-douche colorée - Dans la salle à manger-douche, sur la table "Provence" Maisons du Monde, assiettes et calotte en céramique noire "Dinera", couverts "Mogen" dans l'égouttoir "Fintorp", maxi-boîte hermétique rouge "Ljust", carafe et gobelet en verre teinté "Leende" l'ensemble Ikea. Chaise "Multipl's", fauteuil "Bistrot", douche d'extérieur "Niagara", comptoir "Calanque" à tiroirs, lanterne "Bosphore", malle en métal l'ensemble Maisons du Monde. Tabouret "Antares" en lames de teck Unopiù. Tapis indien "Kattrup", serviette de bain "Fräjen", thermos "Volym" et "Sluka" Ikea. Yves Duronsoy agrandir 4 - Un garage revisité - Chez Stéphane Poux, on est dehors comme à la maison. Devant le garage "Mackai" Leroy Merlin, sur le tapis tressé Ikea, tabourets "Dharma" en teck massif et bridge "Synthesis" Unopiù, fauteuil Honoré. À l'intérieur et à l'extérieur, bouts de canapé à piétement acier clouté et plateau en bois "Arcachon", lanterne "Galilée", lanternes à anse "Bosphore Naturelle", lit "Hampton", billot "Pagnol" et chaise "Multipl's" en métal l'ensemble Maisons du Monde. Draps, couvre-lit et taies d'oreiller en lin et coton gansé Caravane, coussin graphique "Lappljung Ruta" et cierges blancs Ikea. 4 x 4 Jimny JX, 1,3 litres Suzuki. Yves Duronsoy agrandir 5 - Douche d'extérieur en pleine nature - Dans la salle à manger-douche, tabouret "Antares" en lames de teck et tabouret "Dharma" en teck massif les deux Unopiù. Chaise "Multipl's", douche d'extérieur "Niagara", comptoir "Calanque" et lanterne "Bosphore" l'ensemble Maisons du Monde. Serviettes de bain "Fräjen" Ikea. Yves Duronsoy agrandir 6 - L'architecte Séphane Poux - Photo de l'architecte d'intérieur, Stéphane Poux. Yves Duronsoy agrandir 7 - Une cabane design et tendance - Garage "Mackai" Leroy Merlin customisé avec les peintures Vert Officier ligne "Toll-O-Star" et Lait de Chaux ligne "Flat Hydro" les deux Tollens. Fauteuils "Natura" et lanternes "Portland" suspendus, bains de soleil "Saint-Raphaël" le tout Maisons du Monde. Devant le garage, carcasse d'un vieux fauteuil bombée cuivre par Annick, au sol, paillassons "Trampa" Ikea.Stéphane Poux L'idée de transformer un garage en cabane d'été amuse l'architecte d'intérieur, connu pour ses projets de maisons de famille confortables et chaleureuses. Il choisit un lit à haut dossier pour diviser l'espace de 18 m2 en deux zones - repos et repas-douche -, des kilims "pour le vintage", une table-guéridon d'aspect cossu, des chaises dépareillées et un buffet à la peinture décatie. Des meubles qui semblent récupérés ou chinés. Une fois le lit posé face à la nature, afin de dormir "à la belle étoile", Stéphane enlève deux panneaux de la toiture pour laisser entrer le soleil, installe des canisses qui filtrent la lumière et place la douche à l'abri des regards. Dehors, un billot permet de préparer les produits du marché. Un véritable campement de luxe ! Stéphane poux Yves Duronsoy agrandir 8 - Le coin terrasse - Table et banc "Saint-Malo" Maisons du Monde, bols et pichet en terre cuite, bouteille en verre et osier Honoré. Derrière, à l'espace salle d'eau, paravents "Natura" Maisons du Monde, portant à serviettes "Grundtal" Ikea, serviette hammam Honoré. Yves Duronsoy agrandir 9 - L'espace salle de bains - Pour le coin salle de bains, paravents "Natura" Maisons du Monde, portant à serviettes "Grundtal" en acier Ikea, serviette hammam et tabouret en bois et paille Honoré. Yves Duronsoy agrandir 10 - La styliste Annick Lestrohan - Annick est assise sur un ballot de paille recouvert d'un plaid en laine et de coussins. Table d'appoint à plateau en laiton, bol et pichet en terre cuite l'ensemble Honoré. Yves Duronsoy agrandir 11 - Un espace de tout repos - Côté farniente, au premier plan, bain de soleil "Saint-Raphaël" et fauteuil suspendu "Natura" Maisons du Monde, tables d'appoint plateaux laiton, bols et pichet en terre cuite et plaid en laine l'ensemble Honoré.Annick Lestrohan D'emblée, la talentueuse styliste, qui signe avec sa fille Ingrid la ligne de décoration Honoré, souhaite "planter le garage dans un champ de pommiers", pour y créer un "lounge" seventies et campagnard. Une fois la tôle peinte en kaki et blanc, les meubles déballés, la douche de campagne organisée et le réchaud installé, Annick part en quête de bottes de foin ! Elle en tapisse le sol intérieur et garde la dernière pour former une banquette de fortune qu'elle habille d'un plaid vert anis, coloris qui ponctue une palette de tons naturels. Mission accomplie pour la styliste, qui a su transformer l'austère garage en une bergerie décalée, pleine de poésie. Annick Lestrohan Tél. 04 91 33 08 34 et Yves Duronsoy agrandir 12 - Une cuisine en plein air - Côté cuisine, sur les dessertes "Udden", pile de sous-plats en liège, pots de conservation avec couvercle l'ensemble Ikea, planche à découper et vaisselle en terre cuite Honoré. Yves Duronsoy Ailleurs sur le web Contenu proposé par Taboola Sur le même thème Les + d'hiver nos inspirations pour aménager la sa piscine le point sur la réglementation en plantes et fleurs qui n'ont pas peur de l'hiver510partages Newsletter CôtéMaisonRecevez quotidiennement le meilleur de l'actu déco de Côté Maison Services Commentez cet article Retour vers le haut de pageVous aimez l’aventure et le grand air ? Vous avez prévu de dormir à la belle étoile en pleine nature ? Vous avez bien raison, c’est une expérience vraiment unique à vivre ! Pouvoir s’endormir en regardant les étoiles dans le ciel, c’est magique. Pour que votre nuit se passe bien, vous devez emporter avec vous l’équipement indispensable dont vous allez trouver la liste ci-dessous. Le sac de couchage Il existe différents types de sacs de couchage. Suivant la météo et la température prévues dehors, vous allez opter pour un duvet plus ou moins chaud. Le sac de couchage grand froid vous permet de supporter des températures très négatives, au-delà de -20°C. S’il fait vraiment froid, optez pour un sac momie qui montera jusqu’à la tête et vous enveloppera dans un véritable sarcophage, comme à l’époque des pharaons. Ce guide vous aidera à y voir plus clair La tente Dormir à la belle étoile signifie que l’on dort à l’air libre, sans aucun toit au-dessus de la tête. Cependant, si vous ne voulez pas être réveillé au petit matin par la lumière du jour, vous pouvez quand même décider de dormir sous une tente. Cela vous isolera bien du froid et limitera les intrusions dans votre sommeil d’éventuels animaux de passage. La tente vous offrira un peu d’intimité. C’est également bien utile s’il commence à pleuvoir pour ne pas être trempé. La lampe torche La lampe torche est indispensable pour vous éclairer en pleine nuit. Vous n’allez pas fonctionner avec une simple bougie. Prévoyez une lampe torche puissante Cela vous permettra de voir et d’être vu sur une longue distance. Pour des raisons pratiques mais aussi de sécurité, la lampe de poche est vraiment un indispensable du randonneur faisant du camping. La lampe peut vous servir à envoyer un SOS ou à éloigner un animal trop curieux. Le réchaud Après une journée de marche, vous n’aurez pas forcément le temps et la motivation de vous lancer dans la préparation d’un feu de bois. Il n’est pas toujours facile de trouver du bois sec en pleine nature. Du coup, pour réchauffer votre repas, vous devez emporter avec vous un réchaud. Il vous permettra aussi de vous réchauffer les mains et les pieds si vous avez froid. Il existe des réchauds très compacts et légers si vous n’avez pas envie de vous encombrer. Le tapis de sol Le sol est froid et humide. Le transfert thermique avec votre corps est désagréable si vous n’avez pas d’isolation. Il faut donc prévoir un tapis de sol. Cela permet de limiter la remontée du froid. C’est aussi utile pour lisser un peu le sol qui n’est jamais très régulier dans la campagne. Enfin le tapis de sol vous évitera d’avoir des petits insectes qui viennent se nicher dans votre sac de couchage.wDHy. 335 389 354 253 199 486 319 476 308